Ressources en eau de la Turquie, de la Syrie et de les bassins de l'Euphrate et du Tigre
Analyse sectorielle : Ressources en eau de la Turquie, de la Syrie et de les bassins de l'Euphrate et du Tigre. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Pascale.d • 28 Janvier 2015 • Analyse sectorielle • 394 Mots (2 Pages) • 1 311 Vues
l’aide du DOC.1, repérez les ressources en eau de la Turquie, de la Syrie et de l’Irak dans les
bassins de l’Euphrate et du Tigre (2 pts)
2°) A l’aide des DOC. 1, 2 et 3, repérez les différents usages de l’eau dans les bassins de l’Euphrate
et du Tigre (2 pts)
3°) A l’aide des DOC. 1 et 3, repérez les différents aménagements hydrauliques dans les bassins du
Tigre et de l’Euphrate (1 pts)
4°) A l’aide des DOC. 3 et 4, expliquez les conséquences des aménagements turcs. (3 pts)
5°) A l’aide du DOC. 4, expliquez quelles pourraient être les solutions d’une gestion durable de l’eau
dans la région (2 pts)
2/ PARAGRAPHE ARGUMENTE (10 pts)
A partir des réponses aux questions précédentes, de vos connaissances et compétences,
rédigez un paragraphe argumenté répondant au sujet suivant :
La gestion de l’eau
dans les bassins hydrauliques de l’Euphrate et du Tigre,
à cheval sur la Turquie, la Syrie et l’Irak
Vous utiliserez la méthode vue en classe pour rédiger un paragraphe argumenté
(introduction, plusieurs parties, courte conclusion)
Doc.4 Des tensions liées au GAP
Les crises sont récurrentes au fur et à mesure de la mise en eau des barrages turcs, qui provoque
d’inévitables diminutions dans le débit des fleuves et parfois des interruptions […] Le débit du Tigre et
de l’Euphrate à leur entrée en Irak et en Syrie connaîtront une ponction de plus du tiers. Cette perspective
redoutable inquiète les deux pays d’aval dont les équipements sont bien antérieurs au GAP : ils
souhaitent que « leurs droits acquis soient sauvegardés » et que les aménagements récents soient
entrepris en concertation. Telle n’est pas la position de la Turquie, qui, en l’absence de droit international
clairement établi, estime être « maître de ses eaux ». Elle refuse tout accord tripartite sur la question. Le
seul arrangement consenti par la Turquie en 1987 est un accord bilatéral avec la Syrie portant sur des
quotas. […] Un autre accord bilatéral syro-irakien prévoit un partage de ce quota entre les deux pays :
42% pour la Syrie, 58% pour l’Irak.
A cette perspective de réduction sensible des volumes d’eau disponibles pour les pays en aval,
s’ajoutent de très sérieuses menaces pour la qualité des eaux. Quand les 1 700 000 hectares du GAP
seront
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