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Histoire des institutions judiciaires, L2.

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Par   •  5 Novembre 2016  •  Cours  •  1 480 Mots (6 Pages)  •  801 Vues

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Histoire des institutions judiciaires

Semaine numéro 6 environ Contrôle

Semaine numéro 10 ou 11 contrôle

Dissertation d’un texte étudier, ou d’une thématique avec mini introduction I et II.

Comment ce sont diffusés ces conceptions de la justice ?

Par les images, l’architecture...

La justice est un construit historique.

Partie 1 : les conceptions de la justice.

Il y a 2 conceptions qui s’affrontent, 2 qui sont opposés et ce sont 2 conceptions qui se sont succédé dans le temps.

La première dite classique et vers le 19 ème sur une conception critique

Chapitre 1 : la conception classique.

Ici, la justice c’est d’abord ce que l’on appel une moral, une vertu, une qualité individuelle, c’est une éthique.

Paragraphe 1 : Une éthique (comportement qui tend vers la vertu.)

La justice n’est donc pas qu’une institution, elle va structurer la société car elle structure l’homme en société.

La justice c’est le sentiment de faire des actions justes. Accorder ses actions avec des règles morales supérieures.

Justice et équité se confondent. L’équité est la disposition à la qualité qui vous donne accès à ce qu’est la justice, ce qui est le bien.

Texte 1 : Platon, Les Lois. C’est le dernier ouvrage de Platon, c’est ça conception de ce qu’est une loi.

Platon 5 ème siècle avant JC dans l’antiquité grecque : il a été l’élève de Socrate.

L’idée de Platon : essayer de définir et  comment on arrive au bien.

La nature, l’ordre des choses qui est supérieur à l’homme nous prédestine à faire une chose dans notre existence.

On va se réalisé à travers cette chose, cette activité mais dans le même temps, pour parvenir au bien il faut faire cette chose le mieux possible. On se réalise à travers le perfectionnement de son métier.

Pour que les autres puisses exercer correctement leur activités, il faut que chacun soit le plus perfectionniste dans sa propre action.

Autrement dit, il ne peut y avoir de société, de cité, d’Etat que si chacun respecte ce pourquoi il est fait et il  le fait de manière parfaite.

L’idée de justice est : en réalisant le bien commun, on réalise l’idée même de justice  ou d’équité parce que sa demande de respecter sa place et la place des autres.

Dans la philosophie antique, de manière générale, l’Homme est soumis à la société. L’individu n’existe qu’à travers la société. Il n’est fait que pour la société, que pour servir le bien commun, pas de place à l’individu. Il ne peut y avoir de bonheur personnel que si on œuvre au bonheur collectif.

La justice est cette qualité qui va faire le lien entre les individus et qui va commander leurs actions.

Document 2 : Aristote, Ethique à Nicomaque livre V

Il a posé les bases de la conception classique de la justice.

Aristote = élève de Platon.

Il va systématisé sa pensée et il va aussi avoir une démarche scientifique, c’est à dire qu’il va observé la société, comment est-ce qu’elle fonctionne, observer les comportements naturels, et à partir de la, il va en faire une réflexion et une analyse.

Texte fondamental car il a été réemployé dans l’antiquité Romaine ainsi que dans le moyen-âge, il a donc été employé par les juristes mais aussi par les théologiens, les professionnels de la philosophie.

Pourquoi le juste est celui qui respecte la loi ?

La loi c’est ce qui a été décider par l’assemblée des citoyens, c’est donc ce qui gouverne la cité.

La loi pose les bases du bien commun, elle à comme finalité, l’essence de vouloir le bien commun.

Celui qui se soumet à la loi, il œuvrera pour le bien commun.

L’homme juste est celui qui respecte l’égalité =  il respecte l’égalité naturel et il ne prend pas plus que sa part.

Respecter l’égalité = c’est celui qui respecte la fonction de citoyen. Le citoyen à Athènes c’est le chef de famille

« qui ne prend pas plus que son dû » = respecter la place qui est la sienne, oui nous sommes égaux mais nous n’avons pas la même catégorie économique et sociale, les mêmes honneurs, les mêmes fonctions...

L’idée de justice fige les inégalité, il faut respecté la hiérarchie sociale, il n’est pas juste de vouloir quelque chose qui ne nous appartient pas ou pour lequel on est pas fait.

Cette forme de justice est une vertu.

Dans cette conception éthique, la justice est la vertu première, celle qui commande les autres, car c’est par elle qu’on arrive au bien donc c’est la plus importante.

Du point de vue des dispositions personnelles on est tous différents et on a tous des qualités différentes, l’idée étant de découvrir quelles sont nos qualités et de les mener à la perfection.

Ce qui est juste est que l’on récompense les mérites, mais aussi que le démérite soit puni. Ce qui est juste est que la capacité soit récompensée donc on va distribuer des honneurs, distribuer des fortunes, des récompenses suivants les qualités.

Première forme de justice chez Aristote : la justice distributive, celle qui attribut à chacun ce qui lui revient. La justice est ordonnée, hiérarchisée.

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