Firme bancaire « contexte actuel et perspectives européens »
Cours : Firme bancaire « contexte actuel et perspectives européens ». Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Tania Loze • 6 Janvier 2021 • Cours • 11 350 Mots (46 Pages) • 409 Vues
Firme bancaire « contexte actuel et perspectives européens »
Clé entrée : LahetCCPro20
L’importance d’un meilleur fonctionnement des marches des capitaux (crédit bancaire, monétaire, financier) pour assurer le succès de l’euro a poussé la commission européenne à faire de l’intégration bancaire et financière.
Puisque l’euro est devenu la monnaie unique il fallait qu’elle devienne la monnaie de transaction qui va circuler sur les maches. Et il fallait donc revoir le fonctionnement des marchés financières.
Actualité économique amène à ça : crise de la dette en Europe et diff types de crises bancaires en Espagne et la crise sanitaire covid19.La réponse : ça met du temps à venir !
On parle aussi de l’intégration bancaire et financière. Intégration Eco -on est dedans. C’est la convergence entre les systèmes bancaire et financières. Pas de cloisonnement entre les systèmes.
Si on veut créer une Europe bancaire il faut homogénéiser les services pour permettre la meilleure circulation des capitaux. Et si on arrive avoir le marché intégré - meilleur intégration des ressources, investissement, la concurrence sera bcp plus forte.
Un marché concurrentiel mais concentré : qq acteurs se partagent une bonne part de maché et c’est le cas en France avec 5 banques qui se partagent entre 60 et 80% du marché de banque de détail. La construction de l’Europe bancaire s’inscrit dans le contexte de 3D : libéralisation des activités bancaires et financières 🡪Décloisonnement, dérèglementation des activités bancaires et financières, désintermédiation (augmentation . Par des émissions des titres).
Le marché intérieur des services bancaires de détail est loin d’être achevé : D, C, Moyp
Financement essentiellement par les banques en Europe continentale
L’Europe bancaire est une nécessité absolue : avoir des banques d’envergure européenne, par fusion acquisition, qui vend leurs produits à tous les consommateurs européens : même produits, à plus de clients = économie d’échelle. Ça c’est la forme de l’Europe bancaire, si les banques européennes fusionnent entre elles cette Europe bancaire va bien exister.
Une économie d ' échelle correspond à la diminution du coût de réalisation d'un produit obtenue après l ' augmentation de la production de ce produit. Plus un produit est fabriqué, moins son coût unitaire est grand.
Cette Europe se construit sur la base : du Passeport européen et de Directives européennes et de champions nationaux/régionaux.
Le marché unique des services bancaires et financières en Europe repose sur ces 5 principes :
- La liberté d’établissement : une banque qui est habilité dans son pays peut s’implanter dans un autre pays européen sans demander autorisation ni à son pays ni à l’autre pays et après soit elle crée soit elle fusionne.
- Liberté de prestation de services : une banque depuis son pays d’origine peut vendre depuis son pays d’origine des produits bancaire sans demander autorisation.
- Reconnaissance mutuelle des agréments et des pratiques : la banque reconnait une telle comme une banque car elle était habilitée dans son pays.
- Surveillance par le pays d’origine :
- Libre circulation des mouvements des capitaux = passeport européen : 1990 si le client de cette banque veut faire un virement à une autre banque ne va pas payer les frais de virement (car le virement franchit la frontière)
La règle est la surveillance par pays d’origine PO. Mais, notion de partage de la surveillance entre PO et Pays d’accueil existe, en cas de crise notamment, néanmoins pas très efficient en général = donc à reformer.
= pendant longtemps, il y a eu une certaine fragmentation de la surveillance, au niveau européen les Po DV dans la surveillance
L’objectif des directives européens : tout le monde a accès légal au marché :
« On harmonise des produits et des services, les pratiques pour ouvrir un secteur à la concurrence au niveau européen, faire baisser les prix et augmenter le bien être des consommateurs ! »
- Fonctions et Environnements
- Le rôle des EC
- L’un des circuits de financement de l’économie
- L’intermédiation dans un contexte d’AI
La banque est un intermédiaire – finance indirecte 🡪 Un intermédiaire produit les mécanismes par lesquels les fonds sont alloués, il transfert des fonds entre les agents qui ont besoin des fonds et les autres. Collecte des dépôts, accorde des crédits. Elle permet à l’opération de financement se réaliser. Un financement normal n’a pas besoin d’intermédiaire. En chine, la Bque met des quotas sur l’offre des crédits
3 fonctions : D, C et MoyP
La banque réduit aussi les couts associés à la relation bilatérale (main-main) : couts de transactions et couts d’information liés aux AI (asymétrie d’information) :
- *sélection adverse :
- * risque morale (ex post : le prêt a été fait ici)
Pour pallier les AI :
- Rationner
- Acquérir de l’information – couts= donc le rôle d’un intermédiaire
Il y a les couts qui sont liés à l’asymétrie d’information.
Sans la banque les relations de financement ne pouvaient pas se faire car il existe des asymétries d’info et une des solutions : acquérir l’information 🡪 voilà la banque qui dispose de l’information.
- La transformation par un intermédiaire
Transformation de l’information en prix
La banque transforme de l’information à un prix. Dans notre théorie on va considère Au bilan dans le passif on a des ressources petits montants sans risque, et les crédits n’accordes pas les banque on va considérer que sont de gros montants et liquide
Actif liquide : dépôt à vue, livret A ; dépôt à terme ce n’est pas liquide et c n’est pas risqué.
On va considérer qu’il y plusieurs types de transformation :
- De taille /échelle/montant : plus la banque collecte des dépôts plus le cout marginal de la collecte diminue plus elle augmente l’échelle de la production plus les couts de la collecte de dépôts va diminuer et s’il diminue, le taux d’intérêt va diminuer. Plus la banque peut augmenter la taille de son crédit plus elle aura moins d’emprunteurs à suivre. (Économie d’échelle)
- De maturité/d’échéance ou de liquidité : La banque transforme à vue à CT aux crédits moyen long terme on dit qu’elle mélange les maturités dans son bilan. Cette transformation lui fait subir un risque de liquidité et l’immobilisation.
- De taux d’intérêt : Le taux d’intérêt est le prix de risque
- Transformation de devises : la banque passe par le marché des changes. La banque gère aussi les risque sinon la transformation ne marche pas
- Les risques
- Risque emprunteur (risque de contrepartie) : le risque de perte pour la banque en cas de non-remboursement par l’emprunteur. Dans sa r
- Risque de liquidité (transformation de maturité et l’échéance) : le risque de perte pour la banque si elle ne peut pas honorer les demandes des retraits de ses clients parce que ses ressources (dépôts collecte) sont mobilisées en l’emploi à moyen terme à l’actif (risque d’illiquidité on peut dire aussi)
- Risque de marché : le risque de perte pour la banque en cas d’une évolution défavorable pour elle des prix sur les marchés (taux d’intérêt, prix des matières 1 ères, cours de change : risque de change)
- Risque opérationnel : le risque de perte pour la banque en cas d’une défaillance de facteur humain ou informatique
- Rôle d’intermédiation financière dans l’autre canal du financement de l’économie
- Les marches
- Finance directe. Les agents ont besoin de financement et émettent des titres achetés par des agents en capacite de financement.
Il y a deux types de marche : à CT marché monétaire titre de créance négociable – Neu CPs(TCN) émis par les banques, par les entreprises on est sur les dettes sur le CT – marché interbancaire.
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