Philosophie sorbonne paris 1 spinoza
Fiche de lecture : Philosophie sorbonne paris 1 spinoza. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar julie_poms • 22 Octobre 2015 • Fiche de lecture • 1 367 Mots (6 Pages) • 969 Vues
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Ethique Spinoza
Analyse personnel chap. 1 :
Le début est un contre sens → il y a un commencement : qui y a-t-il avant le commencement ? Rien ne commence hormis ce qui s’achève, et rien ne s’achève hormis tout ce qui existe quand on regarde le monde de l’extérieur
- Production ou comme un produit
- Cause ou effet
- Nature naturante ou nature naturé
- Ce que la mort est à la vie
- 5 parties = 5 mouvements
- Notion commune = mystère des convenances = amitié
- « par cause de soi j’entends ce dont l’essence enveloppe l’existence, c’est-à-dire ce dont la nature ne peut être que conçue comme existante »
- Manière abrupte sans préface → il commence par Dieu : la question de la rigueur, de la vérité, l’humilité → medias res → Dieu = ce n’est pas le dieu des chrétiens → l’existence elle-même, commence par ce qui est, par la causalité
- Comprendre ce qu’il faut entendre par causalité par la science mécanique du XVII → causalité efficiente et non plus finale
- Appendice : distingue causalité finale et efficiente
- Aristote : 4 causes et Spinoza reconnait que un type de causalité → efficiente simple connectivité entre la cause et les faits → sciences physique / disqualifie la cause matérielle, cause formelle et finale
- La cause formelle : cause par l’essence ; les faits se rapportent à l’essence même de la chose, elle serait l’effet de sa propre essence → système de la nécessité = persuader convaincre son lecteur que tout ne peut pas venir de n’importe quoi
- Finale → représentation d’une fin, au-delà qui ordonnerait l’action = maison
- Efficiente : production de cette chose = maçon, ouvrier
- Dieu est une cause efficiente = le monde est ordonné selon le principe de causalité efficiente
- Exclusion totale de la causalité finale → illusion = conscience de leur actions, ils pensent agir en cause de fin → masquent les motivations réelles
- Proposition 17 : liberté absence de contrainte mais le libre arbitre : nier la cohérence de l’idée de libre arbitre = pas de sens de définir la liberté par la volonté
- Scolie de la proposition 17 = Dieu n’est pas comparable à un être tout puissant → critique de l’imagerie des théologies
- Liberté nier à Dieu → affirmer un certain type de liberté = ne plus faire l’opposition entre liberté et nécessité mais entre liberté et contrainte
- Agir de manière nécessaire ce n’est pas agir de manière contrainte
- La liberté ne peut se concevoir et s’affirmer que comme en fonction de la nature qui nous est donnée
- Dieu → 6e def de l’Ethique
- 3e méditations : idée de la perfection → mais je ne la possède pas parce que je suis moi-même imparfait, cette perfection ne peut pas venir de moi, elle vient donc d’un être parfait, cet « être » existe nécessairement puisqu’il est parfait et que ne pas exister serait le signe d’une imperfection de sorte que Dieu existe
- Proposition 11 : démonstration de l’existence de Dieu → Def 6 de la première partie corréla → concrétiser cette définition → réalité correspondante
- Définir les notions : scolastique, Descartes, théologiens
- Philosophes moderne : Descartes, les empiristes
- Traditionnelle : scolastique → philosophie de la religion
- Théologien = intérêt pratique → à distinguer des philosophes
- L’être, tout ce qui est ? aucune différence entre Dieu et tout ce qui existe
- Procéder avec ordre → Def 6 : Dieu commence avec la causalité, la cause de soi
- Prouver que tout ce qui est, est cause de soi
- Dieu cause immanente et non transitive du monde = proposition 18 → philosophie de l’immanence = tout ce que cause Dieu est en lui ; il n’y a rien à l’extérieur de lui, Dieu ne transcende pas ce qu’il créer → pas de création dans le rapport entre Dieu et la créature = les modes singulières, limitée = tout ce que produit Dieu il le produit en lui-même
- Produire ne soi et non hors de soi
- Référence → évangile de St Jean « En Dieu nous nous mouvons » → rapport entre Dieu et le réel → il reconnait que dans les livres de religions révélées certains intuitions sont justes
- Proposition 29 : distingue la nature naturante et la nature naturé → Dieu comme cause libre
- Même chose mais de deux visions différentes → Dieu ou la nature = pb théologique et philosophique
- référence en concept de Dieu = deux concepts techniques → du vocabulaire scolastique → rapport étroit entre Dieu et ce qu’il produit et préserver la distinction entre la chose infini et l’être infini de l’être fini → terminé par d’autres existences finies
- tout ce que nous regardons est provisoire et il y a une façon de faire l’expérience qui nous tourne vers l’éternité
- éternité → nécessité des choses d’être ce qu’elles sont au moment où elles le sont
- commence dans le concept de l’infini → affirmation par la plus grande qu’il soit : quelle est cette nécessité des choses, sa positivité ?
- battement du cœur → élément de la mort / battement du cœur en même temps de celui de la mère → la vie ne s’arrête pas à celle d’un individu = regarder le même phénomène sous l’angle de l’éternité
- Parménide : ce qui existe, existe et ce qui n’existe pas, n’existe pas → soumis au devenir
- Père de la philosophie de l’immanence → s’attarde de ce qui existe
- On avance dans la positivité absolue de ce qui existe, exclut toute négativité de l’être
- L’erreur → début de connaissance, illusion → premier genre de commencement → positif et non une figure du néant
- Entendement → outil pour connaitre la vérité
- 1675 : Ethique terminé → refuse de la publier = contexte défavorable
- Univers causale
- « Puisque je garde le mot de Dieu » → il en détache toute signification transcendante → objet d’une connaissance
- Descartes : l’erreur : décalage entre l’entendement et la volonté
- Volonté humaine : infini → entendement = fini
- Tout ce qui existe, existe → donc pas de mystère
- Proposition 17 : liberté absence de contrainte mais le libre arbitre : nier la cohérence de l’idée de libre arbitre = pas de sens de définir la liberté par la volonté
- Scolie de la proposition 17 = Dieu n’est pas comparable à un être tout puissant → critique de l’imagerie des théologies
- Liberté nier à Dieu → affirmer un certain type de liberté = ne plus faire l’opposition entre liberté et nécessité mais entre liberté et contrainte
- Agir de manière nécessaire ce n’est pas agir de manière contrainte
- La liberté ne peut se concevoir et s’affirmer que comme en fonction de la nature qui nous est donnée
- Distinction entre pouvoir et puissance : potentas et potencia : puissance → essence infini t productive de Dieu, pouvoir → autorité etc Roi
- Il s’agit de se demander en quoi l’existence de Dieu est véritablement divine ?
- Spinoza : idée du divin
- Réduire le concept de Dieu = éliminer la gloire d’un Dieu qui nus ressemble → gloire des choses finie → Qu’est ce qui d’infini passe par le fini ?
- Le mystère même de l’existence → existence est une énigme même si elle était moins mystérieuse
- Albert Camus → Noces → il le trouve merveilleux, mais il reste face au silence du monde qui ne lui répond pas → consentir à un monde qu’il ne répond pas
- Alterne cette jouissance brute du monde et une vision pascalienne → Spinoza et Pascal → les deux s’affrontent → penseur de l’infini mais pas la même vision → penseur de la misère de l’homme sans dieu et Spinoza la joie de l’homme en Dieu
- Dieu indifférence de la volonté → immuable , la nécessité des décrets spinoziste équivalente à la volonté indifférente d’un Dieu cartésien → idée extérieur du bien → elle affranchisse a dieu d’être bon → productivité
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