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Russel, science et religion

Commentaire de texte : Russel, science et religion. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  19 Novembre 2022  •  Commentaire de texte  •  1 999 Mots (8 Pages)  •  722 Vues

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Russel, science et religion

Bertrand Russell est un mathématicien et philosophe britannique du XXème siècle, il a traité de très nombreux sujet comme pléthore de lois mathématiques. Dans « Science et religion » paru en 1935, il a opposé deux entités très importantes à notre société, à savoir la science et la religion. La science est un ensemble de connaissances fondées relatives à un domaine déterminé. On la caractérise souvent par sa rationalité, son universalité et souvent par sa fiabilité. Quant à la religion, il est peut aisé de la définir, mais on peut dire que c’est un ensemble de croyances et pratiques d’une communauté qui relève du domaine du sacré. Russell se demande laquelle de ses deux entités à le plus d’importance et le plus d’impact pour l’homme, i pour cela il va les comparer et tenter de comprendre chacune de ces disciplines en analysant les maints aspects qu’elles peuvent prendre. Russell débute par distinguer ces deux concepts, il va ensuite se pencher précisément sur chacun d’eux en commençant par la science il finira en évoquant la religion en se concentrant surtout sur le credo de cette dernière. Bertrand Russel va ici adopter un point de vue agnostique, il va suspendre son jugement sur les dogmes religieux tant qu’ils ne sont pas prouvés de manière scientifique

Dans les premières lignes du texte, Russell retrace l’histoire de deux des plus grandes institutions humaines : la science et la religion. Il commence immédiatement en les distinguant. Il explique que la religion existe depuis toujours (ou presque), on peut trouver des traces de croyance religieuse dans quasiment toutes les civilisations ayant laissé une trace de leur passage, que ce soient des religions polythéistes comme chez les grecs, les romains ou les égyptiens, ou des religions monothéiste chez les juifs, les musulmans et les chrétiens. Il oppose l’existence constante de la religion à celle plus ponctuelle de la science qui d’après Russell n’aurait eu que peu de place pour se développer dans l’histoire, il évoque néanmoins les scientifique arabe et grecs qui ont eu une importance non négligeable dans les avancées technique de leur époques respectives, certaines de ces découvertes sont encore utiles de nos jours, on peut notamment citer Archimède et sa théorie sur les forces subit par un corp immergé ou Pythagore et son célèbre théorème mathématique encore très utilisé que ce soit en Mathématique ou bien pour des applications physiques. La science n’aurait eu une place acceptée que depuis le XVIe siècle, car jusqu’alors ils étaient peu à se consacrer à la science et ceux qui faisait ce choix était souvent mal vu par le clergé car bien souvent la science remet en question les fondamentaux religieux, et a cette période en Europe la population est très majoritairement chrétienne il était donc préjudiciable de s’attaquer au clergé, qui avait encore de nombreux pouvoirs. Mais à partir du XVIe le nombre de scientifique augmente, en effet le XVIe siècle marque un passage important dans l’histoire de l’homme. A la toute fin du XVe, en 1492, l’Amérique est découverte, ce qui va réactiver le questionnement sur leur relation à l’étranger. Cette découverte va permettre la redéfinition par l’homme de sa place dans le monde et donc contribuer à l’essor de l’humanisme. C’est un courant de pensée qui prône un retour à certains fondamentaux des civilisations gréco-latines de l’antiquité comme une plus grande place des sciences dans la société. Même si ce mouvement ne va être populaire qu’a partir du XVIIIe et XIXe siècles, le retour des scientifiques importants se ressent dès le XVIe notamment avec Copernic et sa théorie sur la place de la Terre dans l’espace. Copernic affirme que la Terre tourne autour de son axe en un jour et tourne autour du Soleil en un an, cette théorie a été beaucoup critiqué par le clergé car elle contredit la religion chrétienne qui dit que l’homme est le centre du monde. Pour Russell l’homme doit beaucoup à la science car elle a « façonné toujours davantage les idées et les institutions parmi lesquelles nous vivons », elle a également rendu possible l’amélioration de notre mode de vie notamment avec de nombreuses avancées médicales. Le conflit opposant la science à la religion a très souvent eu pour vainqueur la science car la religion est une croyance métaphysique, à laquelle on ne peut apporter de preuves concrètes tandis que la science repose sur la justification et la discussion du résultat obtenu, alors que jadis en Europe, il était préférable de ne pas s’opposer aux clergés en contredisant la bible. Giordano Bruno, en est un parfait exemple, il a repris les travaux de Copernic, à la suite de cela, il a été accusé d’athéisme, de blasphème et d’hérésie, il a été condamné à être brulé vif. Russell admet que la science en « sort invariablement victorieuse ». Et cela peut s’expliquer de la manière suivante : La Science peut répondre de manière certaines aux questions que l’homme va se poser, elle va apporter des preuves, là ou la religion ne peut apporter que des hypothèses.

Après avoir distingué la science et la religion et définit leur présence à travers les différentes époques. On va maintenant se pencher spécifiquement sur la science.

Russell donne sa vision de la science, d’après lui elle « a pour but de découvrir, au moyen de l’observation et du raisonnement basé sur celle-ci, d’abord des faits particuliers au sujet du monde, puis des lois reliant ces faits les uns aux autres. ». On découvre que Russell croît en la science, et qu’elle a pour but principal la découverte, ces découvertes sont faites grâce au nombreuses avancées technologique mais surtout grâce à l’observation de nombreuses sciences sont d’ailleurs basée sur l’observation et l’interprétation, c’est le cas de l’ornithologie. Elle provient aussi beaucoup du raisonnement, c’est le cas de tout ce qui est un peu plus calculatoire comme le calcul de la distance entre la Terre et la Lune faite par l’astronome grec Aristarque. Russell donnait aussi pour caractéristique

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