Questions/Problèmes Descartes discours de la méthode

Discours de la méthode, Descartes.

1ere Partie :

-La question du bon sens. Ce qui la justifie est la citation «  Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée ; car chacun pense en être si bien pourvu que ceux même qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose n'ont point coutume d'en désirer plus qu'ils en ont ». L 1-4.

-Le problème de la puissance du jugement.Quel est la puissance du jugement ? Ce qui le justifie est la citation : « En quoi il n'est pas vraisemblable que tous se trompent ; mais plutôt cela témoigne que la puissance de bien juger, et distinguer le vrai d'avec le faux, qui est proprement ce qu'on nomme le bon sens ou la raison, est naturellement égale en tous les hommes ; et ainsi que la diversité de nos opinions ne vient pas de ce que les uns sont plus raisonnables que les autres, mais seulement de ce que nous conduisons nos pensées par diverses voies, et ne considérons pas les mêmes choses».l 4-10

-La question de la méthode. Ce qui la justifie est la citation : « dont j'ai formé une méthode, par laquelle il me semble que j'ai moyen d'augmenter par degrés ma connaissance ». l 27-28

-Le problème des degrés de la connaissance. Quels sont les degrés de la connaissance ? Ce qui le justifie est la citation : « par laquelle il me semble que j'aimoyen d'augmenter par degrés ma connaissance, et de l'élever peu à peu au plus haut point, auquel la médiocrité de mon esprit et la courte durée de ma vie lui pourront permettre d'atteindre». L28-30

-Le problème de l'évidence des mathématiques.Quelle est l'évidence des mathématiques ? Ce qui le justifie est la citation : « Je me plaisais surtout aux mathématiques, à cause de la certitude et de l'évidence de leurs raisons; mais je ne remarquais point encore leur vrai usage, et, pensant qu'elles ne servaient qu'aux arts mécaniques, je m'étonnais de ce que, leurs fondements étant si fermes et si solides, on n'avait rien bâti dessus de plus relevé ». L127-131

2eme Partie :

-Le problème de la pensée.Quelle est la nature de la pensée ? Ce qui la justifie est la citation : « , où j'avais tout loisir de m'entretenir de mes pensées. Entre lesquelles, l'une des premières fut que je m'avisai de considérer que souvent il n'y a pas tant de perfection dans les ouvrages composés de plusieurs pièces, et faits de la main de divers maîtres, qu'en ceux auxquels un seul a travaillé ». L206-210

-La question de la religion. Ce qui la justifie est la citation : « Comme il est bien certain que l'état de la vraie religion, dont Dieu seul a fait les ordonnances, doit être incomparablement

mieux réglé que tous les autres ».L231-233

-Le problème de la science des livres. Quel est la science des livres ? Ce qui le justifie est la citation : « Et ainsi je pensai que les sciences des livres, au moins celles dont les raisons ne sont que probables, et qui n'ont aucunes démonstrations, s'étant composées et grossies peu à peu des opinions de plusieurs diverses Personnes, ne sont point si approchantes de la vérité que les simples raisonnements que peut faire naturellement un homme de bon sens touchant les choses qui se présentent ».L238-243

-La question de Dieu. Ce qui la justifie est la citation : « Ceux que Dieu a mieux partagés de ses grâces auront peut-être des desseins plus relevés; mais je crains bien que celui-ci ne soit déjà que trop hardi pour plusieurs ».L292-294

-Le problème de la découverte de la vérité. Comment découvrir la vérité ? Ce qui le justifie est la citation : « et que néanmoins la pluralité des voix n'est pas une preuve qui vaille rien pour les vérités un peu malaisées à découvrir, à cause qu'il est bien plus vraisemblable qu'un homme

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