Philsophie - Sommes-nous prisonniers de la mode ?

Sommes-nous prisonniers de la mode ?

L'homme ne cesse d'innover en tout point, quels que soient les thèmes, les domaines. Ceci est dans sa nature, améliorer sans cesse ses acquis et dépasser des limites qui n'étaient encore infranchissable jusque là et impensables à réaliser. La mode fait donc partit de ces avancées, car pour le plus souvent, les nouveautés sont à la mode et les choses anciennes qui l'étaient autrefois ne le sont plus. On entend souvent, par exemple, " Tu as le nouveau portable qui vient de sortir, il est bien j'aimerais avoir le même ". Cet exemple montre parfaitement l'engouement pour une nouveauté qui petit à petit, au fil du temps, va devenir une mode (souvent par le " bouche à oreille"), mais aussi par le travail publicitaire fait, sur lequel je reviendrais plus tard. On peut donc parler d'une mode inévitable, d'un fléau qui nous rend prisonniers de celle-ci et qui influence, pour la majorité, la société.

Peut-on donc dire que la mode nous rend "prisonniers" de celle-ci ? Être prisonnier signifierait contraint de se plier à cette mode, d'être enfermé dans un courant social que tout le monde reproduit à l'identique. Il faut aussi prendre en compte un autre facteur, la mode peut tout aussi bien être un moyen d'expression, on peut très bien se reconnaître dedans et même l'adapté à notre image. La partie de la question " sommes-nous prisonniers " remet donc tout en question, à laquelle on peut également en dégager un sous entendu sur la société de consommation. L'utilisation en début de question de " sommes- nous " inclue aussi celui qui va répondre, ce qui peut montrer que celle-ci touche tout le monde, et qui sous entend qu'il faut nous regarder en répondant à cette question. On peut remarquer aussi une ambiguïté sur le mot " mode ", car la mode peut être vestimentaire, technologique et culturelle. On va donc regroupé la " mode " dans ces trois domaines.

La complexité du sujet repose donc sur comment peut on être prisonniers de la mode et emmène à observer la société en détail pour répondre à cette question, et à nous regarder nous aussi. Il empenne à observer également comment peut on, et par quelle manière, en sortir ?

Il est évident que la société suit des courants très distincts suivant les périodes, les siècles et les années. L'humain innove et ces innovations deviennent des modes, quelque chose que tout le monde se doit ou voudrait avoir. Une question se pose donc, est ce que l'on achète pour faire comme les autres, pour être comme la grande majorité de la société ? Nous pouvons être poussés à penser que oui, involontairement. On peut même penser que nous sommes obligés de le faire. En effet, aujourd'hui on peut dire que la mondialisation nous pousse à acheter de plus en plus. Nous sommes sous l'effet massif de publicités et de leurs influences. La mondialisation, notamment le libre-échange qui favorise beaucoup le développement commercial international, qui va, par exemple, nous pousser à acheter principalement des vêtements de marque en ne laissant que très peu d'autre choix ( on peut dire que la mode provient de la mondialisation

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