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Notre vie est-elle le résultat des choix des autres ou sommes-nous les seuls responsables

Dissertation : Notre vie est-elle le résultat des choix des autres ou sommes-nous les seuls responsables. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  12 Septembre 2016  •  Dissertation  •  1 949 Mots (8 Pages)  •  1 162 Vues

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Troisième dissertation

Introduction

Énoncé : Notre vie est-elle le résultat des choix des autres ou somme-nous les seuls responsables.

1) Le questionnement 

Un tel intitulé nous amène à poser un regard sur la façon dont l’homme considère les différentes situations qui se présentent dans sa vie. On peut se demander, est-ce que l’homme a su atteindre une maturité qui lui a permis d’assumer ses décisions ou bien est-ce que celui-ci a plutôt emprunté le chemin de la déresponsabilisation face à ces choix? En regardant l’homme vivre aujourd’hui, on voit que celui-ci emprunte plus souvent qu’autrement le chemin du moindre effort. On peut se demander si cette perspective que  l’homme adopte pour vivre sa vie lui est vraiment favorable ou si cela le déshumanise un peu plus à chaque fois?

2) Le problème 

Nous sommes donc placé devant cette grande interrogation à savoir si les actes posés par l’homme sont le résultat d’une décision personnelle ou sont-ils plutôt le fruit de tous ceux qui l’entoure.  

3) La discussion 

Certaines personnes pourraient affirmer que leur vie est le reflet de tout ce qu’ils ont vécu depuis qu’ils sont enfants, c’est-à-dire que leur vie est le résultat de ce que leurs parents ont établi dans leur vie. C’est d’ailleurs cette perspective qui fait qu’un enfant qui a été élevé dans la violence sera violent à l’âge adulte. Alors que pour d’autre, il s’agit plutôt de se responsabilisé en sassant de rejeter constamment la faute sur les autres et plutôt  prendre la décision de changer, soit en reconnaissant cette violence et par la suite en mettant des pas concret comme consulter un psychologue pour régler cette problématique.

Développement

1)La contextualisation du premier philosophe 

Jean-Paul Sartre (1905-1980) était un homme qui croyait en la liberté dans l’action de chaque individu. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il a observé les décisions qui étaient prises en société pour se rendre compte que plusieurs de ces choix étaient absurdes. Par exemple, les technologies avaient été créées pour aider l’homme, alors que celui-ci les a utilisées parfois d’une bonne façon et d’autres fois pour détruire son prochain, soit les avions qui étaient remplis de bonne avec la guerre de 1418.

Ces réalités qu’il a observées démontrent que l’homme fait également des choix absurdes. Ces réalités amèneront d’ailleurs Sartre a exposé la vision que l’homme qui prend des décisions est responsable de ces choix qu’il a fait et qu’il ne peut pas rejeter la faute sur personne d’autre.

Dans cette exemple amener plus haut, l’homme à utiliser sa liberté de choisir pour tuer des gens et il ne peut affirmer que ce n’est pas ce qu’il voulait faire et que cela est dû à un ordre d’un supérieur, car c’est cette personne est responsable de tous les choix quelle fait.

2) La caractérisation du premier philosophe 

Face aux  choix devant lesquels l’homme est placé, Sartre présente la réalité que l’homme possède la liberté. Celui-ci définit le concept-clé de la liberté comme le fait de choisir et ensuite de passer à l’action. D’une part, Sartre présente le fait que cette liberté est partie intégrante de l’existentialiste qui représente les actions, les projets et les choix qui sont fait par l’homme et qui définissent ce qu’il deviendra. Cette réalité laisse entendre que l’homme n’est pas un projet finit, mais plutôt un être en constante évolution lié à tous les choix en action qu’il fait librement de façon engager. Par contre, devant cette liberté de choix, Sartre présente également la réalité que devant ces choix qui construisent l’homme, celui-ci éprouve de l’angoisse, car dans ces décisions qui le construisent celui-ci aimerais avoir la certitude de faire les bons choix, mais rien ne peut l’assurer qu’il prend la bonne décision. L’angoisse qu’il ressent étant lié au fait de devoir faire un choix et ensuite concrétiser ce choix par des actions qui concrétiseront ce choix, sans savoir si cela sera la bonne décision. Enfin, devant cette grande angoisse, l’homme peut faire usage de mauvaise foi selon Sartre. Celui-ci définit la mauvaise foi, comme l’incapacité d’assumer la responsabilité du choix qui produit une angoisse  et qui amène la personne à choisir sans choisir. Cette mauvaise foi peut être manifestée par le fait de refuser d’être responsable de ses actes. Par exemple, une personne qui aurait commis un vol et qui une fois rendu devant le juge dirait que cet acte est dû à la pauvreté extrême qu’il a connu dans sa jeunesse. De cette façon, il refuse de reconnaître que le seul responsable de cet acte qu’il a posé et lui seul et personne d’autre. Donc, devant cette réalité, Sartre démontre que l’être humain est le seul responsable de ces choix et que ceux-ci ne sont nullement le résultat d’un déterministe quelconque.

3) La contextualisation du deuxième philosophe 

Au 19e on croyait et on avait établi les croyances de l’époque sur les pouvoirs de la raison ainsi que sur la science. C’est d’ailleurs la pensée à laquelle Freud à adhérer, c’est-à-dire en s’en tenant au fait pour procéder à ses observations, à ses mesures etc.  

Par contre, à un certain moment de sa carrière, c’est-à-dire au moment d’entreprendre ces observations sur le comportement humain, il constate que celui-ci est dominé par des instances inconscientes et donc que ce n’est plus la raison qui agit sur le comportement d’un individu. Celui-ci dira donc que les agissements de l’individu sont construits à l’insu de celui-ci par des raisons enfouies au plus profond de son être.

4) La caractérisation du deuxième philosophe 

Devant cette situation, Freud présente son concept-clé qui est l’inconscient. Celui-ci définit l’inconscient comme la somme des vérités psychiques qui échappent à la conscience, mais qui influe son comportement. Freud présente le fait que durant son enfance les parents ont éduqué l’enfant en mettant certain interdit, c’est-à-dire en l’instruisant sur ce qui est bien, mal, acceptable ou inacceptable. Ces interdits ce sont donc construit dans l’inconscient pour amener cet enfant devenu grand à être influencé de façon inconsciente. De plus, dans cette théorie de l’inconscient Freud présente les pulsions qui sont une forme d’énergie qui pousse l’homme à agir, soit Éros qui est une pulsion de vie. Par exemple, le  nourrisson qui a fait sera énergiquement dirigé par des cris pour assouvir son besoin de manger.

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