LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

La violence, force ou faiblesse ?

Discours : La violence, force ou faiblesse ?. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  3 Janvier 2018  •  Discours  •  649 Mots (3 Pages)  •  1 522 Vues

Page 1 sur 3

Gandhi disait : « la non-violence est infiniment supérieure à la violence, le pardon est plu viril que le châtiment », en effet Gandhi face à la ségrégation anglaise a protesté de manière pacifique, en faisant sa bien connue grève de la faim. Les britanniques avaient une réputation à tenir, en effet au rang de la 1ere puissance mondiale elle devait servir de modèle et au sein de son propre empire colonial elle ne respectait pas sa population, d’où la contestation de Gandhi qui fut un succès. Et les anglais ont été perçu comme des monstres sur la scène internationale. Toutefois face aux nazis ou un autre peuple barbare, et bien Gandhi aurait été massacré sans aucune considération et on n’aurait même pas eu connaissance de son nom. On se souvient uniquement de lui car il a réussi. Mais le royaume uni est un peuple civilisé peu violent en soi car a une réputation à tenir. Et donc c’est simple de prôner la non-violence face à un peuple relativement peu violent. Alors que face à la violence ça risque d’être plus corsé.

La violence fait l’histoire en effet, c’est la violence unie décide de l’histoire. Toute notre histoire est faite de violence, les guerres napoléoniennes, la première GM, la seconde GM etc. pour citer des exemples qui parlent à tous. Comme le dit Georges Perec, « l’histoire s’écrit avec sa grande hache ». En effet, tout est violence, les vainqueurs imposent leur point de vue aux vaincus, ils sont adulés perçus comme des sauveurs sur la scène internationale alors que se sont ces mêmes vainqueurs qui ont probablement usé vde la plus grande violence. On peut parler notamment à l’issue de la 1ere guerre mondiale une diabolisation du peuple germanique, et un éloge aux vainqueurs aux libérateurs en quelque sorte. La guerre est glorifiée en quelque sorte on affaire à un éloge de la violence. Jean Henri Fabre nous dit que la guerre c’est l’art de tuer en grand et de faire la gloire de ce qui nous conduit à la potence en petit », ce qui montre que lorsqu’en quelque sorte plus l’on emploie de moyens, plus l’on use de violence mieux c’est en quelque sorte.

La raison du plus fort est toujours la meilleure, dans le loup et l’agneau et bien le loup, le plus fort a raison et mange le plus faible. Ici le plus fort est le loup et mange le plus faible. Mais si imaginons un groupe de loups apparait une centaine d’agneaux donc le plus fort. Ou encore si un ours apparait, de la même manière il est le plus fort. On peut remarquer donc que la violence pure, le droit du plus fort n’est pas durable, il y a toujours quelqu’un de plus fort que soi. Pour maintenir la violence, pour que cette violence, ce droit du plus fort, soit immuable il faut qu’il soit institué rousseau nous dit dans son contrat social que Le plus fort n'est jamais assez fort pour être toujours le maître, s'il ne transforme sa force en droit, et l'obéissance en devoir. Nous pouvons faire référence a louis 14 et aux outils symboliques de la monarchie notamment, la fleur de lys, le sceptre et la couronne. Qui sont des outils montrant l’autorité et le droit du plus fort qui est assuré par des symboles. Ces symboles lui assurant une autorité suprême sur le peuple. Pour que le droit du plus fort, ce droit à la violence permanente, justifiée, persiste il faut qu’elle cesse d’être une violence physique mais devienne une violence symbolique.

...

Télécharger au format  txt (3.7 Kb)   pdf (37.3 Kb)   docx (11.2 Kb)  
Voir 2 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com