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Dilemme Du Prisonnier

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Par   •  4 Janvier 2014  •  1 292 Mots (6 Pages)  •  1 152 Vues

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Introduction :

En général, le concept du dilemme du prisonnier se base sur la conception et l’animation d’une situation concernant deux complices. Il s’agit d’étudier les résultats de l’interrogation séparée de deux prisonniers. Les résultats se résument ainsi dans le tableau suivant :

Sachant que le premier chiffre mentionner sur la case correspond au premier prisonnier, tandis que l’autre correspond au deuxième prisonnier. L’on remarque que la situation la plus favorable pour les deux consiste que l’un dénonce l’autre.

Le dilemme du prisonnier met le point sur la tendance qu’a l’Homme à saisir le duel de sa rationalité individuelle face à sa rationalité collective dans une sphère de liberté de choix. Donc entre le choix de dénoncer et celui de se taire dans la situation étudiée. Mais en général ce jeu se bas principalement sur l’idée que “ la confrontation des intérêts individuels ne débouche pas nécessairement sur l’optimum social’’.

L’on distingue entre deux versions de dilemme du prisonnier : la version « simultanée », « standard » et La version « séquentielle ». Qui sera par la suite développée par l’économie expérimentale.

Chapitre I- le dilemme du prisonnier et ses variantes

Tout a commencé avec le concept de « l’équilibre de “Nash’’ », tout particulièrement avec la petite démonstration des deux mathématiciens ; Melvin Desher et Merril Flood. Au début, la formulation du dilemme du prisonnier se basait sur le concept de la stratégie d’aveu.

Le dilemme du prisonnier « simultané » repose sur un jeu simultanément réalisé une fois ou bien répété. D’une part, le dilemme du prisonnier joué une fois conduit à une situation sous-optimale puisque l’un des deux joueurs cherche a faire perdre au maximum l’autre, alors qu’il pouvaient adopter une stratégie qui leurs permettra de gagné. Donc il existe toujours ce dilemme entre rationalité collective et individuelle.

D’autre part, le dilemme du prisonnier répété peut être à nombre fini de fois ou bien à nombre de répétitions infini ou inconnu des joueurs. Lorsqu’il s’agit d’un jeu répété en un nombre fini de fois le joueurs par expériences tendent à trahir la coopération déjà mise en place pour faire naitre ce qu’on appel l’effet de fin de jeu qui s’approche de l’analyse de la rationalité de Krept et al. Cependant quand il s’agit d’un jeu répété indéfiniment la dernière période n’est plus identifiée donnant naissance à plusieurs équilibres qui peuvent apparaître suite à une coopération systématique. Il s’agit dans ce cas du « théorème de tout le monde » (folk theorem).

Le jeu du bien public ainsi que le jeu de la ressource commune font partie des principales généralisations du dilemme du prisonnier. Le premier se joue en la présence de quatre individus et son équilibre est entravé par le comportement de « passager clandestin ». Tandis que le deuxième tend souvent à créer une sorte de « tragédie des ressources communes » [Hardin, 1968].

Quelque soit ses applications, le dilemme du prisonnier montre le conflit entre la rationalité individuelle et la rationalité collective dans les différentes situations sociales.

Le dilemme du prisonnier « séquentiel » est la version du jeu standard selon laquelle un joueur joue après avoir constaté ce qu’a fait son rival. Le jeu consiste à une relation de loyauté et confiance entre les joueurs sinon il y’aura une transition vers la trahison et la suspicion. L’un des fractions du dilemme du prisonnier « séquentiel » sont les jeux de confiance qui regroupent notamment « le jeu de la confiance », « le jeu de l’investissement » et même aussi « échange de dons ».

Cependant, on pourra constater que ces deux versions du dilemme du prisonnier en d’autre terme les dilemmes sociaux, comportent la notion de ‘coopération’, de confiance et de la réciprocité.

Chapitre II- la coopération :

Le degré de coopération dépend de plusieurs facteurs, à savoir : les facteurs sociodémographiques, les facteurs culturels et les facteurs psychologiques.

Il s’agit dans le cas des facteurs « sociodémographique » d’analyser la proportion de coopération en fonction du sexe, de l’âge, des études et de l’idéologie tout en se référant à des études concrète et sincère. Les variables « culturelles » tendent à faire savoir si les normes et les préférences à coopérer se développent sous l’influence de la culture ou indépendamment

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