Le Gai Savoir Nietzsche

Explication de texte : Nietzsche, Le Gai Savoir.

        L’extrait que l’on étudie est « Le Gai Savoir » de Nietzsche. L’auteur nous parle dans cet extrait de la description du travail. Dans un premier temps, je vais vous parler une vision commune du travail, le but de ce travail et les hommes rares. Nietzsche nous donne une réflexion générale sur le fait que les hommes aient un travail, une occupation, une activité est que cela est un moyen d’échapper à l’ennui et à n’importe quel prix.

        L’auteur commence par nous dire que « Dans les pays civilisés presque tous les hommes maintenant sont égaux en ceci qu’ils cherchent du travail en vue du salaire » cela montre que le seul objectif des hommes est de travailler pour pouvoir gagner de l’argent. Il constate aussi que le travail à aucune importance pour les hommes « pour eux tous, le travail est un moyen et non but en lui-même ». Il comprend aussi que la nature en lui-même de leur travail à aucune importance dans leur vie mais qu’il leur rapporte juste une abondance pour vivre « pourvu qu’il procure un gain abondant ». Tout le monde rêve d’être influenceurs et ils ont comme exemple Nabilla Benattia et son compagnon Thomas Vergara. Cela montre réellement que les gens sont aveuglés par l’argent et qu’ils sont prêts à tout pour bien gagner leur vie quitte à en subir les conséquences. Le travail ne devient donc pas une source de plaisir mais une contrainte pour les hommes. Nietzsche fait aussi référence « des hommes rares qui préfèrent périr plutôt que de travailler sans que le travail leur procure de la joie » ces hommes préfèrent se tuer au travail et gagner moins leur vie. Ces gens-là aiment énormément leur travail. Ils préfèrent travailler que de se procurer de la joie avec leur argent pas comme les riches qui eux se procurer beaucoup de joie avec leur argent. L’auteur les qualifie d’homme « minutieux » comme par exemple les métiers de l’artisanat.  L’artisanat est une catégorie de métier qui demande beaucoup de force comme maçon ou bien d’autre encore et les hommes qui pratiquent ces métier ne pensent pas à la joie qu’il leur procure.

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