La vitesse peut-elle ou doit-elle s'écrire à toute vitesse ?
Dissertation : La vitesse peut-elle ou doit-elle s'écrire à toute vitesse ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Matteo Jnl • 8 Avril 2020 • Dissertation • 1 263 Mots (6 Pages) • 867 Vues
Dissertation : L’Histoire doit-elle ou peut-elle s’écrire à toute vitesse ?
L’Histoire est forcément liée à la vitesse.
L’Histoire avec un grand H définit une connaissance et un récit d’un évènement passé juger et dignes de mémoire, ont dit que les faits sont relatés.
Dans ce monde moderne ou toute action est liés à la vitesse et où l’on ne prend jamais le temps de profiter, l’Histoire joue un rôle crucial. Quand on parle d’Histoire on évoque la vitesse qu’on le veuille ou non.
En effet parler d’Histoire c’est changer « l’allure du temps », on parle de fait relater dans le passé et ou lesquelles la vitesse à exercer ses droits.
On peut dire qu’il y a un lien secret entre la lenteur et la mémoire (Histoire) et entre la vitesse et l’oubli.
Pour parler d’Histoire ont parle de vitesse, de lenteur et de rapidité tous ceci à un rapport lié au temps. C’est le temps qui décide d’écrire l’Histoire et la vitesse elle n’est que dominé par celui-ci.
La vitesse est dépendante du temps, l’Homme n’a que le choix de se soumettre à celui-ci, personne ne peut le dompter.
La vitesse mise à part celle que « le grand public » connait évoque différentes choses.
Il existe plusieurs types de vitesses :
La vitesse artificielle et naturelle : La vitesse naturelle présente, depuis l’origine du Monde, elle est définie par : Le temps, les différentes saisons, la vieillesse etc.
La vitesse artificielle va-t-elle, être créer de toute pièce par l’Homme sans celui-ci elle n’existerait pas, les moyens de transports sont des inventions témoignant de la vitesse artificielle, un TGV peut aller à plus de 300 km/h.)
La vitesse Positive est une vitesse qui va tirer la société vers le haut et qui ne peut être que bénéfique à l’inverse de la vitesse Négative qui aura un impact stérile voir néfaste. Elles peuvent être subjectif, par exemple l’invention des caisses automatiques dans les supermarchés va être positive pour les personnes n’ayant pas le temps de faire les courses mais négatives car celles-ci vont supprimer des emplois.
La vitesse Objectif est une vitesse que l’ont va pouvoir quantifié par des unités de mesure telles que les minutes, les heures, les secondes. C’est une vitesse qui est scientifiquement décrites. La vitesse Subjectif elle, est une vitesse de « perception » lié au temps chaque personne aura une vision différente de la vitesse du temps. Par exemple si deux personnes regardent le même film, elles pourront avoir un avis différent et donc une perception de la durée du film qui sera aussi elle-même différente, le film pourra être perçu plus ou moins long selon les personnes. C’est une vitesse de perception
Nous sommes alors en droit de nous poser la question :
En quoi l’Histoire peut-elle s’écrire à toute vitesse ?
L’Histoire doit-elle s’écrire à toute vitesse ?
L’Histoire s’écrit déjà à toute vitesse.
En France, en Europe, dans le monde, tout va vite, beaucoup plus vite. Au 19ème siècle, un siècle ou il y a eu de « Prodigieux progrès tels que les essors scientifiques et économiques »! Le monde commence à être de plus en plus connu, les terres sont découvertes apprivoisés, colonisés.
Nous allons grâce aux nouveaux moyens de transport, de plus en plus vite, en particulier grâce au chemin de fer… et à l’automobile plus tard. La révolution automobile débute en France à la fin des années 1880, environ 300 voitures y circulaient en 1895, puis 1 200 en 1897, 17 000 en 1904. En 1914, la France, qui est le deuxième producteur mondial, compte plus de 150 constructeurs dont les plus importants : Renault, de Dion-Bouton, Panhard et Levassor… Cet essor de l’automobile frappe les esprits
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