La philosophie doit-elle se réduire a constater que l’être humain n’est pas libre ou peut elle contribuer à rendre plus libre et comment ?
Dissertation : La philosophie doit-elle se réduire a constater que l’être humain n’est pas libre ou peut elle contribuer à rendre plus libre et comment ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Immaculee8 • 18 Décembre 2019 • Dissertation • 891 Mots (4 Pages) • 861 Vues
LA PHILOSOPHIE DOIT-ELLE SE RÉDUIRE À CONSTATER QUE L’ÊTRE HUMAIN N’EST PAS LIBRE (ET À EXPLIQUER POURQUOI) OU PEUT-ELLE CONTRIBUER À LE RENDRE PLUS LIBRE (ET COMMENT)?
• Pour répondre, vous devez faire référence à :
o 1) Le texte de Spinoza « Sur la pseudo-liberté humaine » (no. 78 d’Histoire des philosophes illustrée par les textes) et au moins l’un des suivants :
131, 178, 179, 224, 227, 228 d’Histoire des philosophes illustrée par les textes
Mythologies de Roland Barthes (recueil de textes).
o 2) Le texte de Thomas d’Aquin « L’homme est libre » (n. 53 d’Histoire des philosophes illustrée par les textes) et au moins l’un des suivants :
7, 29, 126, 184, 189, 198, 204 d’Histoire des philosophes illustrée par les textes
Second manifeste pour la philosophie d’Alain Badiou (recueil de textes).
• Attention :
o Il est strictement interdit de faire référence à vos notes de cours. Celles-ci ne doivent que vous aider à comprendre les textes, mais ce travail est un travail d’analyse personnelle des textes. Toute trace d’une démarche s’appuyant trop sur les notes de cours se verra pénalisée (critère « rigueur »).
• La pratique de la dissertation dépasse en ambition le résumé, l’explication de texte ou le commentaire. On s’attend ici à ce que l’auteur entre en dialogue avec des positions philosophiques argumentées dans des textes, et s’efforce de prendre position sur une question sur la base d’un examen des arguments en présence, et en apportant une contribution personnelle.
o Il comporte donc une partie explicative.
1. De ce qui est explicite : quelles thèses les textes défendent-ils ? (c’est-à-dire : quelle sont leurs conclusions finales?) Sur quoi s’appuient-ils? (quelles sont les prémisses? Certaines sont-elles des conclusions intermédiaires? Ces dernières ont-elles des prémisses?)
2. Et de ce qui est implicite : Y a-t-il des conclusions implicites? Y a-t-il des prémisses implicites?
• C’est ici que des recherches sur l’origine du discours et sur sa forme peuvent s’avérer utiles…
• De même que des recherches lexicales, historiques, scientifiques, etc.
o Et une partie évaluative.
1. De ce qui relève de la validité : valeur des classifications impliquées, valeur des définitions, suffisance des prémisses, validité des différents niveaux de conclusion.
2. De ce qui relève de la valeur de vérité : niveau d’acceptabilité des prémisses, exposé des informations manquantes et qui ajoutent ou enlèvent de la force à l’argument, contextualisation et nuancement de la conclusion (l’argument pouvait sembler vrai dans tel contexte, pour telle type de personne, etc.; à quelle condition l’argument pourrait-il devenir vrai ou faux?).
o Enfin, une composante de contribution personnelle.
1. Problématisation : par l’analyse, trouver une manière de ramener les deux positions à une problématique commune; reformuler le problème ou la question de manière à illustrer sur quoi portent les divergences.
2. Solution
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