Par quels procédés la cruauté humaine est elle dénoncée ?
Commentaire de texte : Par quels procédés la cruauté humaine est elle dénoncée ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Juliane28052002 • 27 Mai 2019 • Commentaire de texte • 397 Mots (2 Pages) • 648 Vues
La question de corpus à laquelle nous intéressons comporte trois extraits de livres du 17e 18e et XIXe siècle. Nous avons Les caractères de Jean de La Bruyère datant de 1968, Micromégas de Voltaire datant de 1752 et 188 Contes à régler de Jacques Sternberg datant de 1998. Ces extraits ont tous un point commun, celui de dénoncer la cruauté de la race humaine. Ainsi, par quel procédé la cruauté est-elle dénoncé dans ces textes ? Nous étudierons d’abord la dénonciation de la cruauté humaine puis une invitation à la tolérance.
Dans un premier temps, nous remarquons que ces trois extraits dénoncent la cruauté et la race humaine. En effet, le champ lexical de termes dépréciatifs est apparent avec « abominable » et « pauvre » dans le texte de La Bruyère. Ces termes dénoncent la race humaine. Les auteurs n’hésitent pas à parler du côté obscur de l’homme. De plus chaque extrait compare la race humaine a un autre être vivant : les animaux, les autres habitants de l’univers. La race humaine est considérée comme inférieure aux yeux de La Bruyère, Voltaire et Sternberg. De par sa cruauté envers sa race et celle des autres, la violence qu’elle fait subir qu’elle soit morale ou physique, la race humaine est totalement dévalorisé dans ces extraits. Nous avons étudié la dénonciation de la cruauté humaine, étudions maintenant l’invitation à la tolérance.
Dans un deuxième temps les trois auteurs s’adressent à la société et plus particulièrement aux lecteurs et ils nous invitent à être tolérant, à prendre conscience de nos actes cruels. Tout d’abord, la Bruyère, Voltaire et Stenberg s’adressent aux lecteurs avec l’utilisation de la deuxième personne du pluriel « vous » , et la première personne du pluriel « nous ». De plus nous pouvons voir des questions rhétoriques comme dans les premières lignes de l’extrait des Caractères, des exclamations chez Voltaire et même un dialogue. Cela prouve l’écriture par digression des auteurs qui écrivent comme ils pensent. Enfin les trois auteurs évoquent des propos choquants avec des termes violents et avec l’évocation de la mort. C’est propos ont pour objectif de choquer le lecteur à fin qu’il réagisse à la cruauté de certains de ses actes pour qu’il les corrigent.
Pour conclure, la cruauté de l’humanité et violemment dénoncer dans ces trois extraits et ont pour but de choquer afin de faire changer les choses et ici la cruauté.
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