La nature humaine
Dissertation : La nature humaine. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar azalax • 3 Février 2021 • Dissertation • 730 Mots (3 Pages) • 1 310 Vues
La nature humaine c'est l'existence d'un certain nombre de caractéristiques communes à tous les hommes, c'est un ensemble des traits qui caractérisent le genre humain, mais tout être humain n'est pas identique à l'autre, mais on est tous des êtres de la nature encore les individus semblent n'avoir rien en commun. Est-ce que l'homme est né bien ou mal ? ici vient la polémique, des philosophes croient que l'être humain est né bien et la société le transforme en mal, d'autres pensent que l'individu est né avec une mauvaise morale et la société lui apprend la bonne.
Pour Platon, l'être humain est composé de trois parties différentes : son corps, sa raison et sa passion. Les deux parties qui sont le plus en interaction sont la raison et la passion, la passion c'est les gestes et décisions irréfléchis, elle utilise la plupart du temps les émotions et les sentiments pour juger une situation, elle est représentée par le cœur et quand on doit déterminer le bien du mal, il cherchera toujours à déterminer ce qui est beau. La raison peut être définie par le fait que ses actions et décisions sont prises en compte, la raison est représentée par la tête et l'intelligence, puisqu'elle réfléchit pour déterminer ce qui est bon ou mauvais à faire en tant que décision. Elle cherchera à déterminer le vrai du faux parce qu'elle se basera sur ses connaissances pour prendre une décision. La relation entre passion et raison chez Platon est le fait que l'un doit contrôler l'autre mais les deux doivent exister et faire partie de l'être humain pour qu'il puisse vivre.
Rousseau pense que tout homme sait saisir le bien et le mal. Le moral est inné, elle dérive de la pitié et cette capacité crée la morale. Selon Rousseau la société corrompe l'homme avec deux facteurs : la perfectibilité et la vie en société.
Selon Kant, l’importance de la discipline est confirmée lorsque l’auteur en précise la fonction : elle nous fait changer d’état et de statut puisqu’elle nous fait passer de l’état animal à l’état d’homme. C’est comme si apprendre à obéir, à se contrôler, à s’habituer à respecter des règles nous transformait en être humain, ce qui suppose qu’avant d’acquérir la discipline nous ne l’étions pas vraiment. Kant se justifie en distinguant soigneusement la conduite de l’animal et la conduite de l’être humain. Un animal agit par instinct, donc sans penser, sans raison propre ; ses comportements sont innés. Il fait donc ce qui est utile à sa vie de manière mécanique, sans penser ni apprendre ce qu’il doit faire. C’est effectivement comme si l’instinct était une intelligence extérieure à l’animal qui le dirigeait pour son bien, mais du dehors. Le cas de l’homme est tout différent. Il n’a pas d’instinct ; donc il a besoin d’utiliser sa raison pour définir ses règles de conduite. Effectivement les conduites humaines ne sont ni mécaniques ni innées, sauf peut-être quelques conduites vitales. Elles sont acquises, elle demande un apprentissage et un effort. L’homme doit donc réfléchir à ce qui lui est nécessaire et utile ou à ce qui est le mieux pour lui. Mais il n’en est pas capable dès l’enfance, bien évidemment. Au contraire durant sa prime enfance il est « sauvage » en ce sens qu’il ignore quelles sont
...