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Traité De La Nature Humaine

Commentaire d'oeuvre : Traité De La Nature Humaine. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  3 Mai 2015  •  Commentaire d'oeuvre  •  1 372 Mots (6 Pages)  •  1 372 Vues

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Cet extrait du Traité de la nature humaine, à pour sujet dans son ensemble de l’égoïsme de l’Homme qui est porté par ses désirs et son envie de bonheur. Il a pour thème principal autrui et la vie en société. Dans cette thèse, l’Homme est écarté d’autrui par ses vices et il en est et rapproché grâce à la vertu. Les vices et la vertu semble alors intrinsèquement lié par une même origine. Cette recherche du bonheur et ces désirs excluent tout intérêt d’autrui et des humains en général.

Hume semble s’interroger sur la capacité de l’Homme, à contrario d’autres êtres humains, à se développer en société dans une quête du bonheur et sur l’importance de se développement pour son propre bonheur.

L’enjeux d’une telle thèse semble être que, en s’opposant à Kant, Hume nous montre que l’homme est passionnel et non pas rationnel mais cela implique que l’homme ne contrôle pas toujours ses désirs.

Dans un premier mouvement, Hume nous fait part de la différence entre l’Homme et les êtres humains. En effet il semble nous montrer que le désir le plus substantiel (« ardent ») de l’Homme est d’appartenir à cette société.

Dans un deuxième moment, l’Homme semble alors placé ce désir comme celui qui mène sa vie, à un tel point que tout autre désirs sont en relation avec la société. En revanche Hume nous présent alors le fait que la solitude est une « punition ». De plus, il nous présente toutes les passions comme irréductible de la « sympathie » envers les autre et donc de la relation entre Homme, passions et société. Nous pouvons alors nous demander si les passions les plus intenses de l’homme sont capables de contredire Hume.

De ce fait, dans une troisième partie, Hume fait une généralisation de sa thèse en nous montrant qu’un homme ne peux être heureux seul.

Hume, dans un premier moment, semble dire que l’Homme se distingue des autres espèces. En effet, les « créatures », considérés comme des espèces vivantes, ne faisant pas des autres leur proies et qui ne semble pas mené par de « violentes » passions présente un désir de compagnie. La passion est un concept philosophique dans lequel la volonté est passive par rapport aux impulsion du corps, ce qui peut entrainer excès et démesure. Celui qui échappe à la passion est alors un homme mené par sa raison. Pour Hume, l’homme semble alors être capable de faire preuve de raison pour pouvoir vivre en compagnie en faisant preuve de pacifisme. L’homme à ce désir de compagnie. Il semble y avoir une relation entre la nature de l’espèce et sa capacité, volonté à vivre avec les autres. De ce fait, l’homme serait alors de nature fait pour vivre en société. L’homme se développe en société. Il est avantagé par son éducation, sa sécurité et son humanité qui sont dues à la société.

De plus, Hume semble expliquer que nous cherchons la compagnie des hommes mais il va encore plus loin en nous disant que l’homme à comme unique solution de former ses désir à partir de la société. « Nous ne pouvons former aucun désir qui ne se réfère pas à la société », par l’usage d’un pronom personnel, hume lui-même se rattache à cette société conditionnant nos passions. C’est alors la société qui semble être la source de notre désir, elle forme nos besoins, et ce n’est donc pas l’homme qui nous pousse à avoir des désirs. On pourra alors s’interroger dans une deuxième partie sur l’existence de passions plus forte que la société.

Dans un deuxième moment, David Hume, philosophe écossais, nous présente la solitude comme « punition », c’est à dire que la solitude est une sanction de la société envers un homme et donc elle ne peut être considéré comme un état naturel. Le plaisir et la peine mettent en relation l’homme avec la société. En effet, l’homme est un être sensible capable de ressentir des émotions qui le lie dans le plaisir comme dans la peine avec autrui. L’homme languie égoïstement d’un plaisir non partagé en société

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