DM CEJM cas Jounet
Étude de cas : DM CEJM cas Jounet. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Lea Bordjah • 15 Octobre 2021 • Étude de cas • 2 600 Mots (11 Pages) • 9 668 Vues
Question 1 :
Un marché est un lieu fictif ou réel dans lequel l’offre et la demande se rencontre pour échange à un prix fixé.
Le marché du jeu vidéo, en France, est un secteur en dynamique constante, il ne cesse d’augmenter. La structure de ce marché est composée de bien matériel (c’est-à-dire : les consoles, PC, accessoires de jeux vidéo) et de bien immatériel (c’est-à-dire : jeu vidéo acheté via des plateformes, des logiciels).
En 2017, il a été marqué par un chiffre d’affaire de 4,3 milliards d’euros notamment grâce à la vente des consoles.
Les consoles représentent la plus grosse part du marché du jeux vidéo avec un bond de 31%, en 2017, sur les ventes (notamment sur les consoles Nintendo, Sony et Microsoft). De plus, nous constatons que la réédition des consoles représente 9% des ventes, ce qui prouve qu’il n’y a pas que l’innovation qui séduit les consommateurs.
Quant aux jeux vidéo, ils affichent une augmentation de 16% en 2017. Les ventes se font de plus en plus en ligne du fait qu’aujourd’hui, les consommateurs recherche plus qu’un simple jeu mais également la possibilité de participer a des événements en direct. Le learder du jeux vidéo reste Electronics Arts avec son jeu FIFA, suivi par Activision Blizzard puis Ubisoft.
En France, la majorité des entreprises, du secteur du jeu vidéo, sont situées en l’Ile-de-France (307 entreprises), puis en Nouvelle Aquitaine (112 entreprises), suivi de près par l’Auvergne Rhône Alpes (100 entreprises). Plus de la moitié d’entre elles (55%) se consacre au développement du jeu vidéo, et 92% des entreprises du secteur du jeu vidéo créer des jeux pour tablette et smartphone.
Pour conclure, le marché du jeu vidéo est en plein essor, il ne cesse d’évolution.
Question 2 :
Le projet de Jounet est de se lancer dans la conception et la vente de jeux vidéo, mais ils ont également évoqué l’idée d’y associer une console.
Cependant, le problème économique auquel l’entreprise peut être confrontée est : dans un premier temps, l’investissement. En effet, il s’agit d’un très gros projet qui doit bénéficier de très gros financement en plus de celui du jeux vidéo. Ensuite, le marché de la console est n’est pas à la portée de tous, et nécessite beaucoup de technicité, jounet devra faire appel à des intervenants externes, ce qui est coûteux. Enfin, au vu de la complexité de réalisation d’une console et des exigences de chacun, trouver l’intervenant capable de répondre à la demande de l’entreprise peut être très difficile.
Question 3 :
La sous-traitance consiste à confier à une autre entreprise la réalisation de tout ou une partie de sa production.
Du fait que Jounet n’est pas de gros moyen et manque de savoir-faire, l’idée de la sous-traitance semble interessante. En effet, la sous-traitance permet de réduire les coûts, d’améliorer la qualité, de se concentrer sur son coeur de métier, et sur les activités créatrices de valeur, de maintenir un avantage concurrentiel et d’être plus flexible aux évolutions.
Néanmoins, la sous-traitance dispose également de risques, notamment la dépendance vis à vis des prestataires qui peut causer des retards de délai, la perte de compétence, les possibilités de conflit et un manque de cohésion.
Question 4 :
Les avantages bénéfiques pour Jounet, d’avoir une société SAS (société par actions simplifiée) sont, dans un premier temps, la souplesse des statuts, c’est-à-dire, pour créer une SAS il n’y a aucun capital minimum. De plus, il s’agit de la société qui laisse le plus de libertés aux associés pour déterminer les règles d’organisations et le fonctionnement de leur société, il n’y a pas d’obligation légale. Ensuite, il s’agit d’une gouvernance qui attire les investisseurs. Au vu de leur gros projet, en créant une SAS, Jounet pour faire entrer des actionnaires (nombre illimité) et sans permission et de nouveaux associés. Également, une SAS dispose d’une responsabilité limitée aux apports, c’est-à-dire, en cas de dette responsable, il risque que leur mise de départ. Enfin, la création d’une SAS permet de bénéficier d’avantages fiscaux. En effet, ils sont normalement soumis à l’impôt sur les sociétés, mais, dans certains cas, ils peuvent bénéficier de l’impôt sur le revenu, pendant cinq ans si la SAS remplit les conditions.
Pour conclure, la SAS est ce qui leur convient le mieux car ils sont deux associés et elle dispose de nombreux avantages de par sa facilité de création et sa liberté statutaire, parfait pour une jeune entreprise.
Question 5 :
réponse plus bas
Question 6 :
Les ressources détenues par l’entreprise regroupent des actifs de différentes natures. Ils sont tangibles (matériels), c’est-à-dire, identifiables et quantifiables ou intangibles (immatériels), c’est-à-dire, plus « invisibles » mais essentielles car elles lui procurent un pouvoir de différenciation. Pour le cas de jounet :
Les ressources tangibles :
– financières : Jounet, disposera du seul capital social de la société SAS
– physiques : leur ordinateur personnel, le local dans lequel l’entreprise sera installée
– humaines : l’équipe est composée de 2 associés, Marina Toussain, diplômée d’une école supérieure d’informatique, et de Pascal Cohen, infographe. S’ajoutent aux associés 8 salariés : un directeur marketing, un data analyst, un programmateur moteur, un programmateur réseau, un programmateur des concepteurs, un programmateur 3D et 2 dessinateurs.
Les ressources intangibles :
– mercatiques : Jounet pourra travailler son image de marque via les réseaux sociaux
– organisationnelles : Jounet dispose d’un savoir-faire en terme de jeux vidéo, ils sont spécialisés dans le domaine.
Question 7 :
Les meilleurs source de financement de ses activités sont :
- Le cycle d’investissement : consiste à acheter ces biens, nécessaires au développement de l’activité. C’est un cycle long qui commence avec la création de l’entreprise, les opérations se déroulent sur plusieurs années. Le financement du cycle d’investissement peut s’effectuer grâce à des ressources internes ou externes :
- À l’interne : l’autofinancement - L’entreprise se finance à travers sa propre trésorerie
- À l’externe : l’emprunt bancaire - somme d’argent versée par des établissements bancaires en contrepartie, l’emprunteur rembourse l’emprunt un taux d’intérêt.
l’apport en capital - fonds investis, par des associés, misent à la , disposition de la société en vue d'une exploitation commune, en échange de parts ou ‘. d’actions de la société.
...