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Charisme et leadership

Étude de cas : Charisme et leadership. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  9 Février 2022  •  Étude de cas  •  1 527 Mots (7 Pages)  •  289 Vues

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Examen final

ADRH 3222

Travail présenté a : Émile

Travail fait par : Amine  

Session : Automne 2021 

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BLOC C :

Question 7 :

Le charisme est une qualité personnelle qui permet à une personne d’influencer les autres. On l’associe souvent au magnétisme ou au charme. Le leader charismatique suscite l’enthousiasme et l’engagement chez ceux qui le suivent. Lorsque le charisme est exercé pour des intérêts personnels, il peut avoir des dangers et des conséquences destructibles. Parmi ces conséquences on peut citer :

  • Domination des subordonnés
  • Maintien des subordonnés dans un état de faiblesse et de dépendance
  • Réduction du pouvoir des subordonnés etc...

Le charisme est une force puissante, qui peut être aussi dangereuse, parmi les dangers du leadership charismatique, on peut citer :

  • Engendrer des comportements radicaux chez les subordonnés
  • Vivre de l’incrédulité et de la frustration (subordonnés) etc…

Question 2 :

Le leadership partagé désigne un processus dynamique et interactif d’influence entre les membres d’un groupe se guidant mutuellement vers l’atteinte de leurs objectifs communs ou de ceux de l’organisation ou des deux. La principale caractéristique qui le distingue des modèles traditionnels de leadership, c’est que l’influence va au-delà de la simple autorité d’un supérieur désigné ou élu sur des subalternes.

Question 4 :

Dans le contexte de la communication interpersonnelle, la rétroaction est le message de retour qu’adresse le récepteur d’un message a son émetteur, généralement pour l’informer de sa compréhension ou de son interprétation. Plus précisément, la rétroaction est définie comme : « L'échange d'informations avec une personne sur la façon dont elle affecte les autres. Ces informations peuvent l'aider à reconsidérer son comportement et éventuellement à le changer. En l’absence de rétroaction, il peut être difficile de savoir si le sens du message a été recu sans erreur d’interprétation. L’importance de la rétroaction :

  • La rétroaction est trop peu fréquente dans la plupart des lieux de travail.
  • Lorsque la rétroaction est donnée de façon adéquate, elle peut être une expérience enrichissante, car elle aide à bâtir les relations et à renforcer la confiance en soi etc…

En pratique, la rétroaction indique que la communication est bidirectionnelle, c’est à dire quelle va dans les deux sens, de l’émetteur au récepteur et du récepteur a l’émetteur. On peut s’en servir efficacement tout en maintenant les canaux de rétroaction ouverts au sein des organisations.

Question 1 :

Les assises du pouvoir sont les sources de pouvoir qu’acquièrent et utilisent les personnes au sein des organisations. Elles permettent de faire avancer les grands projets, d’avoir accès a des ressources cruciales et de protéger ces ressources lorsqu’elles sont menacées par d’autres personnes ayant du pouvoir.

Les deux principales façons de renforcer les assises de son pouvoir au sein d’une organisation sont :

  • Améliorer les compétences.
  • Établir des réseaux.

Question 3 :

La surenchère irrationnelle est la tendance à poursuivre un plan d’action alors que la rétroaction indique qu’il est un échec. Une telle attitude peut facilement conduire à un gaspillage de temps, d’argent et d’autres ressources. On risque également de passer à côté d’un plan d’action qui aboutirait à des résultats concrets. Plus spécifiquement, la surenchère irrationnelle est l’investissement d’efforts supplémentaires dans un plan d’action dont tout indique qu’il ne fonctionne pas.  Les décideurs risquent d’y recourir pour plusieurs raisons : Lorsqu’une décision est enfin prise et qu’elle est mise en œuvre, les décideurs trouvent difficile de change d’avis et d’admettre qu’ils ont commis une erreur, même s’ils se rendent compte que les choses ne vont pas comme elles devraient. Une autre raison serait que les décideurs ont volonté à interrompre le processus, ils préfèrent penser que tout commentaire défavorable est une réaction passagère.  Au lieu de faire marche arrière et de revenir sur leur décision, ils ont plutôt tendance à s’acharner (surenchère irrationnelle).

Question 5 :

        Un conflit est un désaccord entre des individus ou des groupes concernant des questions de    fond ou frictions résultant de problèmes relationnels. Il existe cinq stratégies de gestion directe des conflits :

  • L’évitement(fuite) : Stratégie de gestion des conflits par laquelle chacune des parties concernées élude le problème en se comportant comme s’il n’existait pas.
  • L’accommodation : Stratégie de gestion des conflits par laquelle on aplanit les divergences et on se concentre sur les ressemblances et les points d’entente.
  • Le compromis : Stratégie de gestion des conflits par laquelle chaque partie cède face à l’autre sur un point important.
  • L’affrontement ou contrainte : Stratégie de gestion des conflits par laquelle la victoire revient à la partie qui réussit à s’imposer par sa force, par la supériorité de ses compétences ou par son influence / Stratégie de gestion des conflits par laquelle l’une des parties, s’appuyant sur son autorité hiérarchique, impose sa solution et spécifie les gains et les pertes de chacune. Dans les deux cas, on ne s’attaque pas aux racines du conflit et on tend à étouffer les désirs de l’une des parties en présence.
  • La résolution de problème : Stratégie de gestion directe des conflits qui s’appuie sur la collecte et l’évaluation de l’information pertinente et sur des discussions franches entre les parties pour éliminer les antécédents du conflit.

Les approches de gestion directe des conflits reposent sur 5 stratégies. Ces approches correspondent à diverses combinaisons d’affirmation de soi et de coopération des parties en conflit. L’évitement, l’accommodation et le compromis débouchent sur une situation qui ne fait que des perdants. Dans les trois cas, personne n’obtient entière satisfaction, et les antécédents des conflits restent inchangés. L’affrontement comme la contrainte débouche sur une situation qui fait un gagnant et un perdant. Dans les deux cas, on ne s’attaque pas aux racines du conflit et on tend à étouffer les désirs de l’une des parties en présence.  La stratégie de résolution de problème, a favoriser, débouche sur une situation qui ne fait que des gagnants. Elle s’appuie sur la collecte de l’information pertinente et sur des discussions franches entre les parties pour éliminer les antécédents du conflit.

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