Cas securiplus adm 1002

Question 1

Je vais tout d’abord résumé les principaux éléments du prinicipe de la division du travail et de l’organisation scientifique du travail.

La division du travail vu par Smith avait pour but d’accroître la productivité et de rendre les employés plus spécialisé dans leurs tâches respectives. En ne faisant pas tout produire par une seule personne toutes les étapes de la production, il augmentait les volumes qui pouvaient être produits seulement en divisant les tâches entre divers individus. Baddage tant qu’à lui croyait que la division du travail permetterait de réduire les dépenses liées aux salaires car ces tâches pouvaient être confiées à des femmes, des enfants ou des hommes adultes non spécialisés.^[1] 

Taylor apporte une seconde vision à la division du travail selon les principes de l’organisation scientifique du travail. Il proprose en effet la division verticale du travail et trace la ligne entre les employés et les employeurs, ceux qui exécutent et ceux qui décident.^[2] Le but de l’organisation scientifique du travail est d’augmenter le rendement; le rendement de chaque individu de la société. Ce qui doit être fait par la décortication de chaque tâche afin d’en connaître ce qui fait qu’un employé est productif et ce qui peut causer un ralentissement de sa production soit, les tâches inutiles.

Selon l’organigramme (figure 1) des « Assurances Sécuriplus», nous pouvons constater une division notoire entre la direction et les employés. Ce qui démontre le principe de Taylor. Premièrement, l’entreprise est divisée en diverses sections, par services : les réclamations santé, dentaires et médicaments sont séparées. Ensuite l’entreprise est divisée à la verticale ce qui rappelle la division notoire entre le management et l’éxécution de Taylor. Également chez Sécuriplus, chacun a sa tâche spécialisée selon la double division du travail toujours par Taylor. (Figure 1) Les employés de l’équipe de vente, les 2 adjoints administraifs et les commis de bureaux. Selon M.Blanchette, il  décrit les activités à réaliser dans son service comme assez simple : « Il s’agit d’aller chercher quelques renseignements dans un certain nombres de dossiers, … de l’approuver le cas échéants. Il ne s’agit pas de faire de la neurochirurgie !».  Ce qui signifie que le travail à accomplir ne requiert pas des employés très spécialisés soit une main d’œuvre sans qualifications spécifiques malgré les heures de formation offertes aux employés. L’employé est un « instrument de l’entreprise »^[3] qui accomplit ses tâches de façon monotone et automatique.Ce qui est contredit dans le cas page 8 paragraphe 1 dernière ligne « nécessitait des employés compétents, attentifs et bien informés ». Comme nous le voyons également à la figure 2-3-4-5 et 6, Sécuriplus utilise le prinicipe de l’organisation scientifique du travail en effectuant la décomposition et l’analyse de chaque tâche avec le temps d’éxécution afin d’accroître la productivié. Les réclamations sont analysées en fonction du temps requis (minutées) et des vérifications à faire pour chacune d’entre elles afin d’en assurer le traitement. Les tâches inutiles pourront ainsi être supprimées du processus afin de l’améliorer.

Question 2

Nous pouvons également voir que chaque secteur de la société est gérée par sa propre équipe de gestionnaire et relève d’un seul directeur par services. Fayol, auteur de l’administration classique^[4] décrit «Les principes généraux d’organisation» qui sont, et j’énumère :

-La division du travail, l’autorité et la responsabilité, la discipline, l’unité de commandement, l’unité de direction, la subordination de l’intérêt individuel à l’intérêt général, la rémunération, le degré de centralisation, la hierarchie, l’ordre, l’équité, la stabilité du personnel, l’initiative, et l’union du personnel.

Sécuriplus fonctionne selon la majorité de ces principes. La division du travail tel que vu à la question 1, l’autorité et la responsabilité et la hierarchie car M. Blanchette donne des ordres à ses subordonnés et àa la figure 1 du cas, l’organigramme le démontre. La discipline est de mise car sinon M. Blanchette pense en congédier quelques uns pour donner l’exemple aux autres. De plus, chaque division a sa propre direction. Principe de l’unité de commandement, un seul chef. Chez Sécuriplus, on peut dire que le degré de centralisation diminue l’importance des subordonnés car par exemple dans le cas les demandes de réclamations sont traitées par ordinateur et non centralisé à un seul endroit. Magré ces éléments, Sécuriplus ne correspond pas en tout point selon l’administraion de Fayol car ils n’ont pas le prinicipe de direction. En effet le marketing et la section des réclamations sont en désaccords et se sont plaints à maintes reprises de ce dernier service car les résultats démontraient plusieurs insatisfactions de la clientèle et de nombreuses erreurs commises. Voilà en partie en quoi Sécuriplus correspond et ne correspond pas aux principes de Fayol.

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