Air france KLM
Étude de cas : Air france KLM. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Megan Chlajsa • 18 Avril 2019 • Étude de cas • 1 162 Mots (5 Pages) • 50 124 Vues
Air France KLM
Droit
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Les enjeux liés à la concentration dans le secteur d'activité du transport aérien peuvent permettre au transporteurs Air France KLM de faire des gains, grâce a une augmentation en nombre passagers transportés.
Le nouvel ensemble se classerait quatrième des compagnies membre de l’association international pour le transport aérien mais également donnerai naissance au premier groupe aérien mondial en termes de chiffre d’affaire.
La mise en commun de deux plateformes hubs ( Charles de Gaulle - Schiphold ), ce qui positionnerait Air France - KLM devant la concurrence grâce a une augmentation des sommes du nombre de connexion soit 21 954 connexion par semaine entre vols moyen et long courriers.
La concentration touche tout le secteurs d'activité pour des raisons commerciale et de coût. 2/
L’intervention de la commission européenne dans la fusion Air France KLM est justifiée par le faite qu’ils veillent à ce que, lorsque deux entreprises décident de fusionner, l'opération de concentration ne déséquilibre pas le marché en faussant la concurrence ou en créant une position dominante qui pourrait faire l'objet d’abus.
Avant de fusionner ou de s'associer, les grandes entreprises doivent obtenir une autorisation de la Commission.
3/
Les conditions du contrôle et de l’autorisation de la fusion Air France KLM sont la cessation de 94 vols par jours de 14 destinations, notamment, Europe, vers les Etat-Unis ou l’Afrique car il y a une trop forte concurrence. Le 11 février 2004 la commission européen donne son accord sous condition à la fusion des compagnies, la fusion nécessite des concessions de la part des deux sociétés pour respecter les conditions de concurrence notamment entre Paris et Amsterdam.
Économie
4/
Lancé le 20 mars 2018 par Elizabeth Borne, ministre chargé des transports. Les Assises national ont été crée autour du slogan « objectif performance » et se déroule jusqu’au mois de septembre.
On observe une croissance mondiale du trafic aérien qui devrait se poursuivre sur le long terme mais en France, cette croissance reste un peu fragile dû à la compétitivité des compagnies aériennes française et depuis 20 ans, elle perd donc des parts de marché.
Cela est également du aux transporteurs étranger qui bénéficient de règles fiscales plus favorables. Ce secteur contribue fortement à l’attractivité économique et touristique du pays mais est également le pilier de l’aménagement et du désenclavement du territoire.
Les objectifs des Assises national sont de dresser un état des lieux du secteur au travers de six mois de consultation et de réflexion dans le but d’aboutir à des propositions concrète pour préparer une stratégie nationale du transport aérien mais également des nouvelles normes environnementales des mesures simples et innovantes qui faciliteront et optimiseront l’expérience usager, grâce notamment au digital, à la data ou à l’intelligence artificielle.
L’intervention de l’Etat est justifier par le faite qu’il a un rôle de régulateur, c’est-à-dire qu’il doit corriger le déséquilibre sur le marché, c’est ce que le voit dans le contexte du texte sur le site www.tourmag.com, un manque de compétitivité et de performance du pavillon français en limitant la majoration de la taxe d’aéroport dans le but de reprendre sa place sur le marché.
5/
La nature de la décision présentée dans la ressource 5 est une stratégie national, c’est-à-dire la
majoration de la taxe d’aéroport sera limitée à 0,9 euro à compter du 1er avril 2018 , c’est donc une politique structurelle car cela vise un résultat sur le long termes. Son impact sur la compagnie Air France est que cela va réduire les taxe d’aéroport seront réduite, ce qui pourrait permettre d’améliorer la compétitivité et la performance du transport aérien Français dont Air France.
6/ Économie d’échelle
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