La Tempête, Hugo Pratt

Hugo PRATT

La Tempête  

Cet extrait du roman « la Tempête » d’Hugo PRATT, Corto Maltese porte sur le voyage d’une embarcation fidjienne le 1er Novembre 1913 le jour de la Toussaint que les marins des îles fidji appelaient Tarowean le jour des surprise.

Dans son récit, l’auteur décrit l’océan comme un élément destructeur et met en avant sa violence par de nombreuses personnification : «  sa force destructrice », « les vagues têtues », « les gifles des flots » on peut également le voir dans la métaphore : « les gifles des flots n’avaient pu trouver de cible précise où frapper » cette métaphore nous montre en outre la violence des eaux mais elle nous montre aussi la résistance de la drua dite fragile : « L’embarcation fidjienne paraissait fragile » malgré sont apparence fragile on retrouve dans le texte de nombreux passage qui nous montre sa résistance, en effet l’embarcation est : « constitué de robuste troncs d’arbres […] qui lui permettait de supporter les assauts rageurs de la mer » ainsi que de « fibre de noix de coco que servait de cordage et de fixation robuste » de plus la drua mesure presque vingt mètre : « l’embarcation qui atteignait presque les vingt mètres » néanmoins on nous apprend à la fin du texte que pendant que l’embarcation subissait la tempête le capitaine était plongé dans sa lecture :

 « Le capitaine Raspoutine, assis dans un grand fauteuil d’osier, était plongé dans l’une de ses lectures préférées »

En définitive l’atmosphère de cet extrait était plus ou moins violent et à la fois mais malgré l’agressivité de l’Océan  la drua résiste à la tempête, ce qui dans la vraie vie n’est pas toujours le cas voila pourquoi on peut aussi dire que ce texte relève du merveilleux.

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