Plaidoirie, exemple, cas de l'Irlande

   C'est le cas de l'Irlande que nous allons étudier aujourd'hui avec une jeune fille qui a été violée à       l'âge de 16 ans et tombée enceinte suite à ce viol. Elle s’appelait Rosaura Almonte et son cauchemar à commencé en juillet 2012. Après avoir été violée et traumatisée par ce qu'il venait de lui arriver, Rosaura n'a pas eu le droit à une interruption volontaire de sa grossesse, c'est ce qui pose un gros problème puisque la jeune fille était atteinte d'une leucémie et les chimiothérapies allaient affecter le fœtus, les médecins sont coupables dans cette histoire puisqu'ils avaient un délai de 20 jours pour réfléchir et donner une décision mais ce délai s’avéra trop long puisque Rosaura est morte d'un choc hypovolémique  Comme c'était le cas d'une autre jeune femme, Lupe qui portait son fœtus dont le cœur ne battait plus, et qui a du retourner dans son pays d'origine l'Espagne pour y être soignée correctement.

L'Irlande ferme les yeux quand les femmes vont avorter à l'étranger et se fiche des souffrance que cela engendre. Elle condamne les plus faibles, plus pauvres qui ne peuvent pas se rendre dans un autre pays.

Les médecins n'ont même pas le droit de donner aux femmes des informations complètes sur l'intervention médicale dont elles ont besoin et sur la manière d'avorter en toute sécurité; pour causes d'amandes. Même après tous ces différents cas graves l'Irlande continue à appliquer cette loi contre l'avortement, peut importe les conséquences.

Une femme doit avoir des droits sur son corps, elle doit pouvoir avoir le choix et non être contrainte à tout prix de garder un enfant qui n'est pas souhaité comme dans le cas d'un viol; «mon corps m'appartient...» ça veut dire que la loi protège le corps humain de manière très spéciale. Tu disposes d'un droit essentiel sur ton corps: le droit au respect de son intégrité.

Comme avec la loi Veil Article L.2212-1:

«La femme enceinte que son état place dans une situation de détresse peut demander à un médecin l'interruption de sa grossesse.Cette interruption ne peut être pratiquée qu'avant la fin de la dixième semaine de grossesse.» Le vote définitif de cette loi se fera en 1979.Ou le M.L.F ( Mouvement de libération des femmes)

« Nous lutterons jusqu'au bout pour la contraception et l'avortement libres et gratuits », lit-on dans le premier numéro du journal Le Torchon brûle.

Alors battons-nous tous ensemble pour changer les choses et rendre l'avortement légal en Irlande pour que ces femmes obtiennent des droits sur leurs corps et qu'elle ai le choix.

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