Organismes : conflits et violences ORH 2130, groupe XXX

Organisations : conflits et violences

ORH 2130, groupe XXX

Travail remis à

XXXXXXXXX

Travail individuel

Fiche de lecture critique

Par

XXXXXXX, XXXXXXXX

Université du Québec à Montréal

Mardi, le 08 novembre 2011

Il n’est pas évident de trouver les mots juste pour parlé d’un livre aussi puissant dans sa réalité crue, qui ce passe de l’autre côté de l’océan, mais si proche en même temps de notre propre réalité. Dans son livre, M. Christophe Dejour, nous fait prendre conscience du phénomène « suicide au travaille» qui est de plus en plus d’actualité dans le monde du travail, mais encore sujet tabou. On a chacun notre vision face à la violence et au suicide au travail. Certains d’entre nous avons été conscients ou vécu de telles situations dans nos organisations. Moi, j’ai vécu la maladie mentale qu’on appelle « fatigue professionnelle ». Je suis donc en mesure de faire le parallèle de mon histoire avec celle des gens de Mermot. Le suicide au travail est un phénomène qui date depuis longtemps, mais qui est encore aujourd’hui, un sujet tabou dans les entreprises. Le suicide nous rend mal à l’aise et nous ne savons jamais comment réagir pendant et après un tel évènement. En plus de vous mettre en situation en rapport avec ce que M. Dejour émet comme opinion et ce que madame Bègue fait comme constat lors de son séjour à Mermot en tant que spécialiste, j’essaierais à mon tour de vous faire prendre connaissance de vos responsabilités envers vos collègues. On peut tous faire la différence chacun à notre environnement organisationnel.

Critique du livre

Ce livre est percutant! Ont se fait mettre en plein visage un fait qui prend de plus en plus de l’ampleur dans le monde du travail. En premier lieu, la violence, même si elle n’est pas toujours mise à jour, fait belle et bien partie du décor de Mermot. On nous fait prendre conscience de l’importance des ressources humaines, dans une organisation. Cependant, ce livre peut nous aider en tant que consultant pour mettre en place un processus d’intervention en cas de crise, mais aussi nous sensibiliser sur le phénomène du suicide en milieu de travail. Sans l’écrire textuellement, on peut comprendre qu’il faut former les dirigeants à y faire face et informer les travailleurs qu’il y a de l’aide qui existe.

Concepts.

Le suicide au travail : que faire? C’est une grande question qu’on ne se pose pas tant et aussi longtemps que nous n’y avons pas fait face. Plusieurs points ont attirés mon attention. Le milieu de travail s’est métamorphosé depuis quelques années, par contre, pas la mentalité des dirigeants. Est-ce que c’est la cause de l’augmentation du taux de suicide. En ce qui concerne la première partie du livre, M. Dejour nous décrit très bien que le sentiment d’appartenance s’est transformé, mais la mentalité des dirigeants n’a pas changée. Du côté des employés, les hommes étaient orgueilleux et fiers. Il ne pouvait avoir peur ou démontrer ses sentiments de peur de se faire pointer du doigt. Cependant, de l’autre côté, quand quelqu’un avait l’air de ne pas bien aller, il y avait un esprit d’équipe qui se fait beaucoup plus rare aujourd’hui. L’entraide était davantage présente. Maintenant, nous sommes dans un monde de «chacun pour soit». On est stressé, on doit performer et la compétition est féroce. On est facilement remplaçable. En nous donnant des faits et les résultats de son étude, il nous fait comprendre qu’il y a un manque flagrant de compréhension du comportement des gens en milieu de travail. Les dirigeants ne pensent qu’à quantifier la production et non la qualité. De plus, les méthodes d’évaluations individuelles sont beaucoup plus rigoureuses. La pression peut-être lourde de conséquence.

La dépression était déjà présente dans les milieux de travail, mais pas toujours diagnostiquer. C’était un sujet qui ne méritait

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