Les droits
Cours : Les droits. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar toviessi • 13 Mars 2018 • Cours • 1 334 Mots (6 Pages) • 456 Vues
SYNTHESE DES RESULTATS
A vrai dire l’origine des droits de l’homme relève d’abord des faits constatés Naturellement il existe une inégalité entre les hommes par exemple, plus sain et en bonne santé que mon voisin d’une même communauté. C’est l’usage que les l’homme font de cette inégalité qui éveillé toutes les attentions. Des hommes se serve de leur force pour brimer, exploiter et réduire même en esclavage les faibles en les traitant comme des choses d’où l’apparition ou la naissance de droits de l’homme. Pour corriger cet état de chose on confectionne et on publie des codes, des lois. En effet, l’histoire retient que le code d’Hammourabi est une forme d’expression des droits de l’homme. Babylone était le théâtre dune violence inouïe à telle enseigne que le roi décida de réglementer la vie sociale par ce code. De 1792 à 1730 avant J-C la torah des juifs promulgue des règles de conduite qui prônent l’amour et le respect du prochain. Avec l’avènement de Jésus Christ et la naissance de la religion chrétienne, les valeurs humaines accompagnées de toute la dignité requise seront recommandées prônées et vivement souhaitées. Nous avons la fraternité, la justice la générosité, l’égalité, l’amour du prochain, l’assistance ou laide aux plus pauvres etc. Ensuite la dignité de l’homme dans cet univers plain d’incertitude et de précarité ne peut demeurer étrangère aux philosophes. C’est pourquoi dès le 17ème siècle avec John Locke en Angleterre, la question des droits relatifs à l’homme s’est posée avec acuité. Par droits naturels, John Locke entend ce qui est légitime pour la nature humaine, et qui est juste de revendiquer. Dès lors, il redemande aux dirigeants du pourvoir politique de respecter les droit naturels du citoyen qui ont tendance à bafouer du fait de leur position de force. Avec ces idées nouvelles toutes l’Europe s’embrase, les encyclopédistes tels que Voltaire, Diderot, Montesquieu, Jean Jacque Rousseau vont secouer la société en faisant des déclarations et des publications incendiaires sur les droits de l’homme. A un roi qui affirmait maladroitement que « l’état, c’est moi » Voltaire lui rétorque « l’état, c’est nous ». En dehors de ces philosophes et penseurs des actions on été menées dans le monde pour obliger des teneurs du pouvoir a sortis des peuples, des ténèbres. On a beaucoup parlé du « Bill of right » qui étais une déclaration de l’Etat de Virginia en 1776 et dont le contenue essentiel sera repris par la déclaration d’indépendance américaine le 17 Juillet 1776. Avec la révolution française de 1789, il y eu la déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Cette déclaration contient des dispositions qui ont été reprise presque entièrement par la déclaration universelle des droits de l’homme en 1948. On appelle droit de l’homme un ensemble de droits fondamentaux et inaliénables reconnus à tout être humain, droit sans lesquels, les individus ne peuvent vivre et s’épanouir dans la dignité et dans l’équité au sein de la communauté sociale. Se sont des droits, c’est à dire des prérogatives propres à chaque être humain sans distinction de sexe de race de provenance ni d’appartenance à une religion . Convention des droits de l'enfant La convention relative aux droits de l’enfant
La convention relative aux droits de l’enfant a été adoptée par l’assemblée nationale des Nations Unies par sa résolution 44/25 du 20 novembre 1989.Se n’était pas la première fois que la communauté internationale se préoccupait des enfants. La société des nations en 1924, l’organisation des Nations Unies en 1959, avait adoptée des déclarations sur les droits de l’enfant. De même des dispositions visant expressivement les enfants avaient été incorporées dans plusieurs instruments relatifs aux droits de l’homme ou aux droits humanitaires.
Il ne fait pas de doute que les enfants étaient victime de grave injustice : taux de mortalité élevé, soin de santé défaillant, chance réduite d’accéder à une instruction élémentaire. A ces injustices viennent s’ajoutées des injustices
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