Analyse juridique: Maison Nucingen

Maison Nucingen un roman écrit par Balzac, traite sur la manière dont le Baron de Nucingen a fait une grande partie de sa fortune. La scène du roman est un restaurant parisien où quatre amis, Bixiou, Blondet, Finot et Couture se sont rassemblés autour d'une table pour parler d'argent et d'affaires. Ainsi durant le cours de la soirée le quatre amis ont commencés à s’intéresser à la fortune d'un certain Rastignac, qui dans un court laps de temps est passé d'une misérable pension à une rente de quarante mille livres. On apprend alors que la fortune de Rastignac fut faite grâce au Baron de Nucingen. Dé-lors commence une description du mécanisme financier de Nucingen, en simulant deux fois une faillite et en achetant lui même les actions qu'il a fait effondrer. Nucingen envisage de  simuler une troisième faillite dont Rastignac lui aussi tira des avantages financiers considérables. Godefroy de Beaudnord un homme honnête, puisqu'il a hérité de sa fortune, ne connaîtra pas le même sort  Lors de la simulation de la troisième faillite de la maison Nucingen Rastignac c'est enrichi sur le dos de Beaudnord et celui-ci a perdu une grande partie de ça fortune suite à la perte de valeur de ses actions sans valeurs. Quant à Nucingen il a est devenu encore plus riche qu'auparavant.

Après avoir vu un petit résumé du roman passons aux différents aspects juridiques traités dans le roman.

Il faut prendre en considération que le roman joue dans le 19ième siècle, est que durant cette période un moyen d'enrichissement était la pratique de la fraude durant des transactions financières. Comme on peut le lire dans le roman, Nucingen a fait fortune grâce a une maîtrise parfaite du mécanisme de la fraude, en l'appelait le génie de la haute finance. Les banques avait une puissance énorme dans la vie politique ainsi que dans la vie économique. Les banquiers sont des escrocs comme on peut l’interpréter dans le roman de Balzac. Comme mentionné dans le roman: » Une fortune , aussi considérable que la sienne aujourd'hui, se prend quelque part,.. » Balzac est d'avis, soit en naît riche soit on le devient frauduleusement, puisque toute fortune est construite sur du vole, de la fraude, de l'exploitation. Comme l'a fait Nucingen, il a payé ces créanciers avec des valeurs fictives, en gardant leur argent. Les banquiers d'une certaine façon ne prennent plus en considération les règles morales, ainsi ceux si s'enrichissent sur la banqueroute de leurs clients, ils savent qu'ils vont ruiner la vie de quelque avec leurs actions frauduleuses, mais ça ne les dérangent pas. On ne prend plus en compte le facteur « humain » dans le monde des affaires, parce que l'homme est égoïste. Des nos jours il n'y a pas de grandes différences entre la fraude du 19ième siècle mentionner dans le roman, sauf que aujourd'hui ce sont de milliards qui sont gagnés et économisés grâce à la fraude. Un exemple marquant de la fraude financier est le système de boule de neige de Madoff.

Un autre aspect juridique, le fait que la justice n'est pas rendu à celui qui a tort ou raison, mais à celui qui sait laisser jouer ses relations au sain de la vie politique. Il faut aussi prendre en considération que le monde politique est un monde où la corruption peut-être plus ou moins présente. Bien que devant un tribunal le juge en lui doit être impartial et juger objectivement les faits, il se peut qu'il y ait des influences extérieur qui l'influence d'une certaine façon. Ainsi dans le roman il y a deux types d'avocats. L’honnête homme qui respecte la loi, pousse les procès, ne néglige rien, conseille ses clients, etc. De l'autre côté par contre il y a celui pour qui tout est bon pourvu que les frais soient payés, il fera tout dans son possible pour innocenter un coupable. Comme Monsieur Desroches dans le roman, il sauve les affaires embarrassantes des hommes politique en contre partie ceux-ci l'aide dans ces affaires. Ceci va contre le principe qu'on a vue en cours, « La justice est d'attribuer à chacun ce que lui revient » .

Dans le roman Balzac décrit la loi de l'« improper », c.à.d . impropre, cette loi qui au 19ième siècle régnait en Angleterre et qui influençait le comportement des gens. Tout comportement qui n'est pas conforme au « improper » sera mal vue par la société et ainsi les gens avait peur de faire quoi que ce soit, de peur d'être « improper ». Quelques exemples : Abordez une jolie femme afin de danser, « improper »,etc. On peut prendre la loi de l' « improper » comme l’étiquette de comportement de la société anglaise. Dans leurs yeux les personnes devaient danser différemment selon leur statu ou leur état civil, ainsi une femme mariée devait danser autrement qu'une jeune femme, une militaire autrement qu'un page,etc.  Bien que la société française avez son étiquette et ses mœurs à elle, la loi de l' « improper » commençait a gagnée le territoire français. Les français eux n'aiment pas la loi de l' « improper » puisque les coutumes et les mœurs sont ancrés dans une société depuis longtemps et ils n'acceptent pas que la société anglaise viennent imposer leur coutumes et mœurs chez eux. Les coutumes et mœurs sont des comportements et de gestes qui se sont imposés au fil du temps dans la société et qui sont difficile à faire disparaître puisque si on ne les respectes pas on sera sanctionné. Pas juridiquement, mais plutôt moralement.

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