Fusion acquisition
Cours : Fusion acquisition. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar caesio2 • 19 Janvier 2022 • Cours • 873 Mots (4 Pages) • 368 Vues
Fusion acquisition
Acquisition successive : c’est une prise de participation de contrôle successive dans le capital de la société ciblée (consiste à racheter petit à petit des parts d’une entreprise jusqu’à posséder au moins 51%)
Fusion simplifier : la société mère détient plus de 90% du capital émis
Les fusions : opérations par laquelle une société absorbante récupère l’intégralité du patrimoine de la cible (absorbé), soit par rachat en numéraire soit par échange d’action, soit un mixte des deux. Au terme de la fusion la société cible n’existe plus. Il existe deux types de fusion, Fusion absorption : A+B=A : Fusion création : A+B=C
Quand il y a fusion, le terme en droit s’appelle TUP, transmission universalise de patrimoine. La société absorbée c’est une dissolution sans liquidation.
La scission : opérations par laquelle une entreprise (scindée) transfert tout ou partie de son patrimoine à de nouvelle structure crées à cet effet.
Les apports partiels d’actif : opération par laquelle une entreprise (apporteuse) transfère une branche d’activité complète à une société bénéficiaire.
Les opérations spécifiques au société coté
Une opération touchante à plus de 20% du capital oblige au dépôt d’une offre publique d’acquisitions ou d’échange (OPA : en cash, OPE : en action) aux prés de l’AMF
Une OPRO, une offre publique de rachat obligatoire, elle suit une OPA par laquelle au moins 95% des titres ont déjà était apporté dans le cadre de l’OPE. C’est un outil juridique qui assure les OPA de se transformer en fusion.
Opr : permet de retirer la société de la cote en rachetant tout le flottant
LES GRANDES MOTIVATIONS D’UNE FUSION
Stratégie de diversification, de produit, géographie, activité
Stratégie conglomérale
Stratégie d’intégration verticale
Stratégie d’intégration horizontal
Motivation financière
Motivation juridique et fiscal
Objectif de notoriété
Chap.2 les modalités de validation des apports
Le cadre juridique des apports [pic 1]
[pic 2][pic 3]
[pic 4]
Le cadre fiscal des fusions
Le régime fiscal de droit commun, le transfert de patrimoine de l’absorbé à l’absorbante et assimilable à une cession d’actif et de passif, conséquence fiscale : cession soumise à TVA, cession soumise à l’IS sur les plus valus, transfert obligatoirement enregistré.
Le régime fiscal de faveur, 3 effets : session HT, depuis la loi pacte 2018 pas de droit d’enregistrement sur tous les transferts de droit passif et actif, suspensions d’IS sur les plus valus l’absorbante reste redevable de l’IS sur la plus valu au moment de la fusion. Condition du régime fiscal de faveur. Capital entièrement libérer, les deux sociétés à l’IS, le montant de la soulte payer en numéraire ne doit pas dépasser 10% du capital sociale émis par l’absorbante lors de la fusion.
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