Forces de la concurrence

Concurrence oblige, les produits sont mis sur le marché toujours plus vite. Parfois avant même d’être fini et suffisamment testé. Cette stratégie comprend des risques très importants d’échec. L’exemple de Windows Vista est très parlant. Lors de sa sortie, le système d’exploitation présentait de très nombreux problèmes de compatibilité et de performances tant et si bien que même les plus fidèles utilisateurs de Windows ont massivement rejeté Vista. Ce flop a fait la part belle à Apple et c'est Mac qui a vu sa part de marché augmenter, alimenter par les utilisateurs de Windows Vista insatisfaits.

Aussi innovant qu’un produit puisse être, le risque à le commercialiser trop tôt est bien entendu l’échec du produit mais également que les efforts marketing profitent à un produit comparable commercialisé plus tard mais en ayant été testé, donc prêt.

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Un nouveau produit qui n’est pas perçu comme une nouveauté, une offre différente qui n’existait pas auparavant, a de très forte chance de ne pas survivre très longtemps. Ce type de lancement est pourtant relativement fréquent, faute d’avoir testé le marché et les consommateurs suffisamment.

Votre nouveau produit n’est pas si nouveau, et apporte trop peu de valeur ajoutée

L’argent, c’est le nerf de la guerre en affaires. Cela est toujours vrai. Mais parfois, malgré de grands renforts en marketing/communication, si votre offre ne tient pas la route, il y’a peu de chance de faire de votre produit un véritable succès commercial. Les entrepreneurs préfèrent toujours dans leurs études tirer des conclusions “en faveur” de leur projet. Mais se posent-ils toujours les bonnes questions? Analysent-ils toujours en toute objectivité? Certainement, non.

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