Le commerce équitable

Le commerce équitable

Depuis le 20ieme siècle un nouveau système de commerce s’est formé, le commerce équitable, dont le but est, de protéger les producteurs du Sud de l’exploitation. A cause des spéculations sur les prix des aliments et des multinationales qui n’arrêtent pas de baisser les pris d’achat pour rester compétitive les paysans du Sud ne peuvent pas vivre de leur salaire. Le commerce équitable garantie que le producteur reçoit une rémunération qui prend en compte les besoins de la famille, la santé, l’éducation et encore plus. En France on est toujours en train d’informer le grand public sur ce phénomène assez nouveau.

L’association Minga a lancé un débat « pour un développement économique du commerce équitable » et dit que le débat doit être démocratique et ouvert. D’après un membre de Minga il existe en France deux avis différentes sur le commerce équitable : Une partie de la population le considère comme étant une nouvelle forme d’aide au pays moins développés et leurs producteurs. Mais la plupart des gens comprennent l’équité du commerce pour chaque ‘un des participant. Le commerce équitable ne concerne pas que les producteurs des pays du Sud mais aussi de l’Europe et des Etats-Unis, car même là il y a des producteurs dans des situations de précarité à cause de la rentabilité.

Dans tout ça on doit toujours faire attention aux vraies intentions des acteurs. Car il en existe, par exemple Max Havelaar, qui n’ont plus un commerce équité pour but mais au contraire veulent seulement augmenter leur volume de vente et profitent de la pitié de la population occitane. Au lieu de valoriser la qualité des produits et du travail, ils focalisent sur un image stéréotype du paysan défavorisé du Sud qui a besoin d’aide pour survivre. Ils profitent de l’image que l’on a au Nord pour un marketing éthique. En plus de tout ça ils négligent les autres acteurs du commerce équitable et prétendent d’être les seuls dans ce domaine.

Selon le point de vue de la personne le commerce équitable est donc considérer comme un enjeux de société très important ou alors comme une forme de la politique sociale du libéralisme.

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