La légitimité en responsabilité sociétale des entreprise

Il y a trois types de légitimité : la légitimité traditionnelle, charismatique et rationnelle-légale. La première légitimité est l’autorité traditionnelle. Elle consiste à suivre des règles basées sur des traditions et des coutumes. Un homme prend tous les pouvoirs et ses sujets doivent se soumettre à lui. Il est l’autorité et les membres du chef deviennent les sujets du chef. Cette légitimité ne suit pas les origines d’une autorité de base. Pour certaines sociétés, ce type de légitimité n’est pas juste, équitable et raisonnable. Pour d’autres, cela suit ces trois critères. La deuxième légitimité est l’autorité charismatique. Elle consiste à choisir un chef selon son charisme. On le compare souvent à un prophète ou un oracle, car il possède un don de la grâce divine. Les sujets du chef se soumettent à cette autorité, car elle est un personnage important dans la vie de ceux-ci. Elle est représentée comme un héros saint doté d’une force surhumaine et surnaturelle. Le problème majeur dans ce type de légitimité survient lors de la succession du chef. Celui qui succède doit garder le même charisme après la mort ou la retraite du chef primitif. Weber nomme cela « la routinisation du charisme ». La troisième autorité est l’autorité rationnelle légale. La population choisit son autorité de façon réfléchie et rationnelle. Elle utilise des règles générales, abstraites et impersonnelles, ce qui différencie énormément des deux autres types de légitimité. Elle prévoit des portes précises à des fonctions précises. Cette légitimité se tourne plus vers la bureaucratie et la hiérarchie.

La légitimité est la qualité de ce qui est juste et moralement acceptable. Le caractère légitime de l’usage de la force donné à l’État signifie que c’est accepté par la population. En d’autres termes, cela est juste, équitable et raisonnable. L’État en question détient le monopole de l’usage de la force. Cela sert à maintenir le bien-être collectif, car si l’État n’aurait pas ce pouvoir, il y aurait plusieurs complications et une anarchie dans la société. De plus, cette population n’est pas toujours unanime dans le choix de l’autorité, donc il peut y avoir de la violence et des révoltes. Dans ce cas-là, l’État peut utiliser son pouvoir. Cependant, il ne faut pas tomber dans le piège du profilage.

MANELLE KHERRAT

Politique, démocratie et citoyenneté

Gr : 01

La légitimité

Travail présenté à

M. Sylvain Benoit

Programme de sciences humaines

Cégep Gérald-Godin

29 septembre 2016

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