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SECURITE ET SANTE AU TRAVAIL CAS

Étude de cas : SECURITE ET SANTE AU TRAVAIL CAS. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  18 Juin 2016  •  Étude de cas  •  1 525 Mots (7 Pages)  •  1 384 Vues

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  1. Ceci s’agit d’une coupure, alors nous parlons des risques mécaniques.

b) L’expression « lésion avec perte de temps » signifie que la lésion subie par l’employé lui empêche de travailler,  au moins 1 jour après s’avoir blessé.

c) Une culture de prévention est l’ensemble des valeurs,  convictions et principes qui conforment le système de gestion de la sécurité dans une entreprise ainsi que l’ensemble des pratiques et des comportements qui rendent possible le travail sécuritaire.  C’est-à-dire tous les éléments conformant la culture de l’entreprise, et reflétés sur les politiques de prévention.

d) Je choisirais comme trois principaux éléments clés à mettre en place afin de construire une culture de prévention le travail en équipe, la conformité aux normes et  la rapidité à corriger les risques en milieu de travail.

Tout en partant les normes, que ce soit en santé et sécurité du travail, ou celles de la compagnie en général, sont établies pour le bon cheminement des pratiques. Elles ont été conçues après évaluations, améliorations  et réévaluations pour rendre le travail plus efficace et sécuritaire. La conformité à ces normes contribue énormément à des pratiques optimisées. Par ailleurs, nous avons la rapidité à corriger les risques en milieu de travail puisque toutes les mesures destinées à analyser, évaluer et identifier les risques ne servent à rien si les changements ne sont faits de façon rapide pour éviter la répétition des accidents. Finalement le travail en équipe; plutôt en raison du besoin d’harmonie dans le milieu de travail. Le travail en équipe permet de collaborer activement vers la réussite collective des objectifs, à détecter des situations problématiques, ainsi que les solutionner.  

e) La culture de prévention d’une organisation s’avère très important pour améliorer le bilan SST dans une entreprise. Tout d’abord, dans une entreprise, ce sont les préoccupations pour la SST qui vont orienter les actions à prendre pour prévenir les accidents de travail et maladies professionnelles. En cultivant des valeurs de base dans un organisme, tels que le travail en équipe, la communication ou le leadership nous contribuons à l’amélioration du bilan SST. Ces valeurs sont inhérentes de la culture de prévention, donc en promouvant ces valeurs, nous promouvons une culture de prévention, et nous verrons donc forcément des améliorations dans le bilan SST.

f) Nous avons mentionné dans la question précédant l’importance du travail en équipe pour l’amélioration du bilan SST. Effectivement, des travailleurs négligeant leur travail, leurs tâches, ou leur implication dans le travail collectif ralentissent le développement de la culture de prévention d’un organisme. Par exemple, si un superviseur reflète peu d’intérêt au bien-être de ses employés, ceci aura un impact négatif dans le travail en équipe, et par conséquent dans la culture de prévention. Des employés qui choisissent d’ignorer des consignes de sécurité telles que l’utilisation des EPIs,  augmentent le risque d’accidentes ainsi que le sentiment d’insécurité entre eux. À la place, des employés impliqués dans leur sécurité et celle de ceux qui les entourent, rendent possible l’optimisation de la GSST, permettant d’y trouver de la place pour des améliorations à plus petite échelle.

a) Selon la LSST, (article 51)  l’employeur a l’obligation de fournir les différents équipements de protection nécessaires pour garantir la sécurité des employés. Il est aussi responsable de s’assurer la bonne utilisation des équipements mises à leur disposition. Il doit former et informer les employés des risques dans leur environnement  qui justifient l’utilisation des EPIs.

b) Dans le cas décrit ci-haut, la responsabilité de choisir les Équipements de Protection Individuel reste sur les épaules du Comité de Santé et Sécurité. Ceci est en raison des opérations de l’entreprise; En étant une fonderie de cuivre, l’entreprise fait partie du Groupe Prioritaire I (Chimie). Nous avons appris auparavant que les groupes prioritaires I,II et III sont obligés selon l’article 68 de la loi de santé et sécurité de travail (LSST) de former  un CSS.  Par ailleurs, un des cinq pouvoirs décisionnels du CSS est notamment  «Choisir les équipements de protection individuel»[1].

c) Trois raisons expliquant pourquoi les employés n’utilisent pas automatiquement les EPIs mises à leur   disposition nous pourrons mentionner :

1.         Une manque de confort ou empêchement à réaliser certains tâches. L’utilisation des EPIs rend le travailleur dans l’inconfort physique ou il est difficile à tolérer en réalisant leurs tâches quotidiennes (par exemple, des masques). Il se peut aussi que l’EPI limite ses habilités (mobilité, vision, etc) lors du travail, le rendant plus difficile (par exemple des gants, des lunettes).

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