Intelligence interculturelle

Quel est le rapport au respect de la règle dans nos cultures  respectives ?

Deux types de relations à la norme : privilégier « l’universel » ou le « particulier ». Fons Trompenaars propose un exemple pour illustrer la différence  du dilemme de l’accident de voiture.

Quel rapport au contrat peut-on observer ici et ailleurs ?

3 approches sur le rapport au contrat : le contrat comme moyen pour construire la confiance, le contrat comme cadre légale et le contrat comme cadre relationnel. Exemple des japonais et des hommes d’affaires occidentaux.

Quelles sont les représentations de l’autorité et de la hiérarchie: à qui accepte-t-on d’obéir ?

2 visions à distinguer :

-Une vision sociale ou personnaliste où le système social réunit une collectivité de personnes autour d’un projet.

-Une vision instrumentale qui se caractérise par une répartition de responsabilité et des tâches selon une hiérarchie.

Quel degré de distance hiérarchique dans les organisations « Powerdistance » ?

-S1: Dans quelle mesure un individu peut-il influencer le comportement d’un autre, dans quelle mesure peut-il le commander ?

-S2: Quels sont les écarts entre l’individu et sa hiérarchie, quels sont ses niveaux de dépendance ou d’autonomie vis-à-vis du pouvoir ?

-L’influence entre les individus se réalise dans la présence d’une distance hiérarchique entre les deux.

 le changement de la manière de penser,  mène à une évolution pour une bonne harmonie au sein du groupe et l’adaptation avec les objectifs en commun.

-L’individu reste toujours dans une zone caractérisé par l’ambigüité en ce qui concerne la relation avec sa hiérarchie.

Quels sont les modèles organisationnels dominants dans nos sociétés respectives?

-S1: Les modèles organisationnels Sont-ils orientés en priorité vers le rôle de l’individu ou vers la tâche qu’il réalise ?

-S2: Quelle est la force de la hiérarchie dans les modèles organisationnels : sont-ils plus « égalitaires » ou plus « hiérarchiques » ?

-S3 : Les modèles d’organisation des entreprises, des institutions, des associations, sont-ils importés, ou reflètent-ils une tradition culturelle forte ?.

-Les modèles organisationnels varient, on a ceux qui se focalise sur le rôle de l’individu et ce genre se caractérise par un système autoritaire assez fort. L’autre modèle c’est celui qui ce focalise sur la tâche il se caractérise par un système moins autoritaire.

-On distingue des modèles égalitaires où tout le monde travaille sur un seul objectif et il n’y a pas une certaine hiérarchie. Un modèle hiérarchique où le patron donne des ordres et reste lui le supérieur.

-Les entreprises prennent un modèle particulier comme objectif d’évolution jusqu'ils trouvent une culture propres à eux.

Quelles sont les différentes sources et conceptions du savoir dans nos cultures respectives ?

-S2 : Quel est le statut des savoirs dit « traditionnels » ? Relèvent-ils des croyances ou des leçons de l’expérience ? Comment sont-ils transmis ?

-S3 : Quels sont les supports du savoir dans nos cultures : écrit, oral, numérique ?

-S4 : Quelle conception de l’éducation ? Qu’appelle-t-on « bonne » ou « mauvaise » éducation ?

- Une société se caractérise par des savoirs traditionnels particuliers qui sont transmis d’une génération à l’autre et qui sont respectés par tous.

- L’évolution des supports du savoirs dans le temps, en passant par l’écrit « livres », l’oral « proverbes » et en arrivant au numérique.

Quel rapport à la technique et aux technologies ?

-S1 : Comment le progrès technologique est-il perçu ? outil d’asservissement ou de libération ?

-S2 : Dans quelle mesure les nouvelles technologies bousculent-elles les systèmes hiérarchiques des organisations ?

- Les avancées technologiques sont sans aucun doute un apport de liberté mais les nouvelles technologies, sont une nouvelle source de stress qui coûte cher à l’organisme humain, mais aussi très cher aux entreprises.

-Exemple de l’impact d’Internet et des réseaux sociaux sur les systèmes hiérarchiques des organisations. « Article du journal le Monde ».

Quel rapport à l’expertise et aux diplômes ?

-S1: Quel rapport à l’expérimentation et à l’échec?

-S2: Quelles stratégies de pouvoir à partir du savoir et de l’expertise ? Le pouvoir, Légitimé par le savoir? Qu’est-ce que « faire autorité »?

-S3 : Qu’attend-on d’un cadre expatrié ? D’un volontaire ?

-S4 : Quelle acceptation de « ne pas savoir » ?

-Le rapport entre l’expertise et l’échec ce manifeste dans le fait que la personne n’as pas acquis de bonnes expériences donc elle va échouer, ou plutôt l’échec de la personne va le mener à avoir une expérience pour le futur.

-L’expatriation d’un cadre ou un cadre volontaire  peut être une source d’avantages à la fois pour l’entreprise et le supérieur.