Comment le roman illustre-t-il une crise personnelle et familiale?

Rannou

Lenny Français

Introduction

Comment le roman illustre-t-il une crise personnelle et familiale?

Dans le roman Tropique de la violence, Nathacha Appanah nous emmène dans la réalité des bidonvilles de l’île de Mayotte. À travers le destin de Moïse, tiraillé entre sa culture d’adoption et celle de son sang, l’auteure montre la différence des deux populations co-habitantes de l’île : la masse des clandestins et les Français.

Dans quelle mesure les relations familiales sont-elles parfois complexes?

Nous allons le voir avec comme 1ére partie

-Les relations familiales -entente avec les sous parties

-Le portrait de la mère

-Relations complicité mère-fils: adoption

I/relations familiales-Entente

I)Le portrait de la mère

Marie est une jeune infirmière métropolitaine au CHR de Mamoudzou, sur Grande-Terre, elle a 28 ans et est une étrangère qui a suivi son grand amour jusque sur son île natale. Ne pouvant lui donner d’enfant, elle l’a quittée et s’est réfugiée dans l’isolement “Chaque jour monte l’attente, chaque jour gonfle l’espoir d’avoir un enfant.” avec cette exemple nous pouvons voir que dans les relations il y a parfois des problèmes comme celui-ci, mais il y a des solutions car un jour Marie croise le chemin de Moïse, bébé débarqué d’unkwassa kwassa dans les bras de sa si jeune mère qui croit que son enfant est maudit. Moïse est noir mais un de ses yeux est vert et elle y voit un signe diabolique. Moïse, une première fois abandonné mais sera élevé par Marie.”lui bébé du djinn. Lui porter malheur avec son oeil” grâce à cette rencontre Marie est devenue mère.

Mais un jour Marie décède alors que la situation entre elle et Moïse n’est pas arrangeante, cet événement ne vas faire qu’empirer le cas de Moïse. “Je n’ai pas senti le dernier spasme de mon cœur."

II) Relations complice mère-fils: adoption

Marie et Moïse étaient très complices durant une période, Marie l'a élevée comme si c’était son vrai enfant. Moïse a même eu une éducation en allant à l'école, elle lui a même recueilli un chien que Moïse n’a jamais quitté, le soir elle lui raconte des histoires avant de dormir. Nous pouvons voir qu’il y a une vraie complicité mère-fils. Ils lisent ensemble L’enfant et la rivière d' Henri Bosco, son livre préféré et nomme son chien Bosco.

II)Relation familiales et personnelle-Complexes/négatives

I)Relation négative mère-fils

A l’adolescence, leur complicité se fendille, le garçon “Moïse ne vas pas bien”, il s’interroge sur sa vie de blanc, sèche l’école. Marie lui raconte d’où

...