Victor Hugo, Les Contemplations, « Melancholia » (extrait), 1856
Commentaire de texte : Victor Hugo, Les Contemplations, « Melancholia » (extrait), 1856. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar yaya.brl • 8 Novembre 2023 • Commentaire de texte • 626 Mots (3 Pages) • 133 Vues
BOREL Yaëlle 1G4
Commentaire littéraire
Victor Hugo, Les Contemplations, « Melancholia » (extrait), 1856.
Le poème « Melancholia » de Victor Hugo est extrait du livre III du recueil de poème Les Contemplations, datant du 19ᵉ siècle, il s’inscrit dans le mouvement littéraire du romantisme français dans ce recueil les thèmes de l’amour, de la mort, de la nature mais également la souffrance . Dans cette extrait Victor Hugo dénonce le travail forcé des enfants. Ce commentaire vise a comprendre en quoi Victor Hugo dénonce t’il le travail forcé des enfants ? Pour cela nous allons formé notre commentaire en deux parties comportant chacune deux sous partie, la première abordant le travail des enfants, leur souffrance et leur misère mais également la question du progrès, de la richesse d’une société qui accepte la misère puis dans la deuxième nous allons la question de la morale et de Victor Hugo qui en appel à Dieu pour condamner ce travail
Tout d’abord dans cette première partie nous allons nous intéresser au travail des enfants, à ce qu’ils ressentent : de la souffrance de la misère. Nous allons ensuite aborder la question du progrès de la richesse d’une société qui accepte la misère et laisse des enfants travaillé car Victor Hugo dénonce énormément cette question là.
Dans ce texte Victor Hugo s’intéresse a ce que ressentent les enfants vivant de la misère et forcés a travailler. Pour cela il emplois le pluriel « ces enfants » qui a pour effet de concrétiser, il fait une généralité et ne parle pas que d’un seul enfant. Il décrit également la misère des enfants en disant « dont pas un seul ne rit » ; « ces filles de huit ans » ; « travailler quinze heures » ; « innocents dans un bagne, anges dans un enfer ». Mais également la souffrance avec des expressions tel que : « que la fièvre maigrit » ; « Aussi quelle pâleur » ou bien encore l’emploi du mot « rachitisme ». Il emploi également le registre pathétique visant à susciter l’émotion du lecteur, à intensifié les événements du poème avec les émotions, la personnification de « monstre hideux » et la comparaison « innocents » et « anges » qui sont la pour comparer les enfants.
La société a progressé car maintenant il y a des machines mais cela reste quand même un travail dur et comme le dit Victor Hugo c’est un travail « haï des mères » il se pose également des questions sur le progrès étant « : Où va-t-il ? que veut-il ? ». La société s’est enrichit mais elle accepte encore que des gens sois dans la misère en continuant un « Travail mauvais qui prend l'âge tendre en sa serre » et qui fini par comme dit dans le texte « Qui produit la richesse en créant la misère »
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