La Bruyère, Les Caractères, livre X, le bon berger

A l'époque de Louis XIV, le mouvement du classicisme prend un aspect moral. Comme La Fontaine avec ses fables, La Rochefoucauld avec ses maximes. La bruyère avec ses caractères fait partie de cette catégorie de texte, dit argumentatif et instructif.

Après 17 années de travail, La Bruyère publie Les Caractères en 1688. L'œuvre se compose de 16 parties composées de portraits satiriques qui visent à dénoncer certains comportements de son époque, et plus généralement le mauvais usage de la parole. Dans la 29e remarques du livre X, LB nous parle d’un bon berger et établie une relation avec un souverain.

Dans un premier temps, du début du texte à « sevitude ! » nous verrons comment LB fait la description du bon berger. Puis dans un deuxième temps, de « Quelle condition » à « prince », nous analyserons la comparaison entre le berger et le souverain. Enfin, dans un troisième temps, de « Le faste » à la fin du texte, nous verrons comment LB critique le luxe.

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Comment LB, en s’appuyant sur la parabole du bon berger, construit une figure de souverain idéal et critique le luxe inutile au pouvoir.

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LB est un auteur classique qui fonde son texte sur des sources bibliques et antique. Le bon berger est associé à la figure d’un homme au service des autres d’un représentant du pouvoir temporal et spirituel à l’écoute de son peuple. LB met en garde contre les dérives du pouvoir en appelle à la simplicité à l’unitilité du prince et ainse cette remarque fait pensé au livre du prince.

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