Le Bourgeois Gentilhomme, Molière
Fiche : Le Bourgeois Gentilhomme, Molière. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar solss_mir • 9 Février 2024 • Fiche • 781 Mots (4 Pages) • 153 Vues
PRESENTATION DE LA PIECE LE BOURGEOIS GENTILHOMME DE MOLIERE[pic 1]
Molière est un comédien et dramaturge classique français du 17ème siècle.
Lully est un compositeur et chef d’orchestre du 17ème siècle.
Molière et Lully sont surnommer « le duo infernale » car il se défient et s’encouragent dans leur production.
Ce sont les inventeurs de la comédie ballet.
Lully est le défenseur du style français et créateur de l’Opera français.
Son contexte de création :
Molière a écrit cette pièce de théâtre pour critiquer la société de l’époque. Il critique principalement les bourgeois donc le clergé et la noblesse. Cette pièce a été représentée pour la première fois le 14 octobre 1670 devant la cour de Louis XIV, au château de Chambord par la troupe de Molière.
Synopsis de la pièce :
M. Jourdain est bourgeois enrichi qui, est déçu de ne pas être pas gentilhomme. Il veut du moins s’en donner l’aire. Il se mêle à la noblesse et imite les grands seigneurs. On lui dit que les gens de qualité savent la danse, la musique, l’escrime et la philosophie, il fait donc appel à des professeurs de ces disciplines. Le musicien prétend que l’ignorance de la musique est la cause de toutes les guerres, le danseur dit que la danse est le premier de tous les arts, Le maître d’armes est un ferrailleur dont tout le mérite consiste à donner et à ne point recevoir. Il se charge de tuer son adversaire par raison démonstrative ce qui plait fortement à M. Jourdain.
Le philosophe les trouve tous impertinents de vanter leurs métiers de gladiateur, de chanteur et de danseur. Le maître d’armes donne quelques coups de fleuret, le philosophe se met donc en colère. Après le départ des autres personnes, il demande à M. Jourdain ce qu’il doit lui enseigner, et il lui offre la logique, la métaphysique, la morale, la physique et l’orthographe.
Être gentilhomme est pour M. Jourdain le comble de la félicité et il donnerait, dit-il lui-même, deux doigts de sa main pour avoir ce bonheur. Aussi est-il très flatté de l’amitié que lui porte Dorante, gentilhomme de la cour qui lui emprunte, le plus d’argent possible.
M. Jourdain s’est mis dans l’esprit de faire l’aimable auprès d’une dame de haut rang. Le comte Dorante lui conseille, pour s’attirer les faveurs de la dame, de lui envoyer un poème. il s’empresse de suivre cet avis, et le comte, qui doit remettre le cadeau, le remet en effet, mais comme venant de lui. C’est pour cette dame qu’il prie son maître de philosophie d’écrire un billet tendre qui ne soit ni en vers ni en prose, tellement il veut qu’il soit de bon goût. Il découvre que depuis trente ans il fait de la prose sans le savoir.
M. Jourdain a une fille qu’il ne veut marier, cela va sans dire, qu’à un homme de bonne maison. Il refuse un jeune homme, nommé Cléonte, parce qu’il n’est pas noble. « Êtes-vous gentilhomme ? » Telle est la première question que M. Jourdain lui adresse. Il veut que sa fille soit marquise. Pour parvenir à ses fins, il se déguise et se présente comme le fils du grand Turc qui vient demander la fille
Étude du titre :
La pièce de théâtre se nomme ainsi car le personnage principal de l’œuvre, un bourgeois que l’on surnomme gentilhomme.
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