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Introduction au commentair texte §345 le "Gai Savoir" Nietzsche

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Par   •  5 Novembre 2024  •  Commentaire de texte  •  1 170 Mots (5 Pages)  •  36 Vues

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Prouve A Philosophie Contemporain

Giovanni Marzegalli – étudiant Erasmus+, 17/10/2024

Dans la préface que Nietzsche ajute avec la cinquième partie à le Gai Savoir en 1886, quatre années après sa premier publication, il dit qu’il s’agit d’une livre « écrit dans la langue du vent de dégel : […] il rappelle constamment aussi bien la proximité de l’hiver que la victoire sur l’hiver, victoire qui arrive, doit arriver, est peut-être déjà arrivée… ». Le « Gai Savoir », d’où vient l’article qu’on va à étudier, doit donc être considéré comme une œuvre de préparation, ou, par utiliser le titre du dernier article de la quatrième partie, un « incipit tragœdia ». C’est exactement cette tension à un nouveau débout qu’on trouve dans cet article, le troisième de la cinquième partie du livre, écrit par Nietzsche dans les mêmes années où il était in train d’écrire son œuvre « la généalogie de la morale », fondamental pour comprendre l’exigences qu’ici l’auteur exprime. En effet, après avoir critiqué la morale et la connaissance dans le premier deux parties, avoir présenté la mort de Dieu dans la troisième (§108-§125), et présentes le « Sanctus Jaunuarius » dans la quatrième, Nietzsche retourne pour ajuter la cinquième partie, qu’appelle « nous, sans peur », avec le but d’exposer une regarde plus mature sur les thèmes fondamentaux.

        En parlant de thèmes fondamentaux il est facile de trouver dans l’enquête sur la morale le thème le plus fondamental dans l’œuvre nietzschéenne ; et, en effet, est de l’enquête sur la morale que s’occupe l’article §345, qu’on va à étudier. La morale européenne n’est pas un lieu de paix, mais une condamne pour celui qui la pratique, comme déjà bien expliqué dans l’article §21 de le Gai Savoir. Elle est une condamne à l’individualité, une mortification de soi. Il faut donc de le critiquer, de découvrir sa valeur. Mais qu’est-ce signifie de critiquer la morale, examiner sa valeur ? à la fin du 19eme siècle la morale était déjà enquête parmi différentes pensées, à laquelle Nietzsche fait plus o moins explicitement référence. Il y a eu l’utilitarisme et le libéralisme parmi J.S. Mill, l’ « anthropologie du point de vue pragmatique » de Kant, tout la pensé darwiniste et autres encore, toutefois, dit Nietzsche, le « préjugé populaire de l’Europe chrétienne » (l. 20) est toujours dominant, n’était pas dépassé. Le dragon de le « tu dois », pour parler avec « Ainsi parlait Zarathushtra », est toujours vie. Nonobstant la mort de Dieu, l’évidence de la nécessité d’aller par-delà de la morale, l’homme semble capable de critiquer seulement les opinions d’une culture ou de l’autre, d’une superstition par le changer avec un autre, sans réussir à se débarrasser de la formule de la morale, la formule allemand et chitrienne de la renonce à soi et de « tu dois ». La comparaison entre les différentes morales des différents peuples n’est pas donc suffi, elle produit une critique velléitaire. Si alors est pour nous nécessaire de critiquer la morale, en tant qu’elle est nui pour nous, il semble une tache impossible à s’accomplir, en tant qu’on écrit des histoires de la morale mais on est toujours ceux exclaves. Comment peut-on donc entreprendre cette critique ? comment peut-on découvrir la valeur de la morale ? sommes-nous condamné à la vie du « tu dois » ?

        Pour Nietzsche est tout-à-fait possible, si non nécessaire, d’accomplir cette tâche. Mais pour le faire, pour critiquer la morale, il faut de découvrir sa valeur. C’est-à-dire, pour Nietzsche, de savoir qu’une morale peut naitre par une erreur : comprendre cela est le debout pour examiner la validité, la valeur, de la morale. Ici, caché, il y a tout le projet de la « généalogie de la morale » (1886), la nécessité de retourné par une méthode généalogique (et, attention, non historique, comme le penseurs angles, mais généalogique) aux raisons pour laquelle une morale s’est développée. N’est pas un hasard que dans la préface de la généalogie Nietzsche lament exactement la solitude da son exigence, sa recherche solitaire, qu’on ici voit comme le résultat d’une aveuglement méthodique de la pensée occidentale.

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