Diderot - analyse linéaire

1) L1-2 : Une mise en place de la situation très explicite

A/ Une double confrontation

Le chef des tahitiens se fais immédiatement porte par parole car il dit « nous ». C’un un face à face entre deux culture qui oppose les tahitiens et les européens.

B/Une accusation

Périphrase à connotions péjoratif : « chef des brigands », ça lui donne une image de criminel et qu’il fais des actions illégales. Cette accusation mets tout le poids de la culpabilité sur Bougainville.

C/ Une injonction à partir

Il emploie l’impératif (« écarte »), il renforce l’ordre grace à l’adverbe « promptement ».

2) Ligne 2 à 7 : Un réquisitoire prouvant le malheur emmener par les européens.

A/Ligne 2 à 4 : effet néfaste de l’arrivé des européens contre la nature

-Un parallélisme de construction est présent mais il cache une relation de cause à conséquence, le bonheur des tahitiens viens de leurs innocences.

-Une négation restrictive souligne le caractère néfaste de l’arriver des européens, ils sont l’élément perturbateur, le parasite.

-Le mode d’emploie de leur bonheur propose la proximité avec la nature, cela est en opposition avec le mode de vie des européens. Ce mode d’emploie est une référence a l’idée du mythes du « bon sauvage » qui est que l’homme est bon par nature mais c’est la civilisation qui le pervertie.

-La gravité des actions des européens est aussi évoquer, il veut effacer de leurs âmes leurs caractères. C’est l’anéantissement d’une culture.

-Les pronoms a valeur absolue «tout est a tous », c’est une seconde règle tahitienne, ils ne connaissent pas la notion de propriété privé.

B/Ligne 4 à 6 : conséquence tragique de leur arrivée

-Exemple précis de se communautarisme avec la relation homme/femme

-Montre la haine et la férocité avec une succession de phrase très rapide, sans mots de liaison, pour montrer la fatalité.

3) Lignes 7 à 16 : Une diatribe anti colonialisme


A/ Lignes 7 à 9: Une contestation de la liberté tahitienne montrer Coe illégitime

Il y a un changement de thématique, ça passe de la question du bonheur a celle de la liberté.

Ici il commence par un argument « ad hominem »(ad = contre / hominem = homme), c’est a dire que ça attaque la personne directement. Cette argument est la pour nier toute supériorité.

Il souligne également le caractère illégitime qui est souligné par deux procédés : le verbe « faire » qui renvoie a l’idée de fabrication et également le verbe « enfui », qui renvoie à un trésors.

B/ Lignes 9 à 15 : critique de l’appropriation matérielle, de terre et de territoire qui est proposer

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