Comment le cinéma américain domine-t-il le marché mondial?

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toulon lilas                                Dernier Jet

Je suis une petite fille qui à travers ses beaux yeux larmoyants du Grand départ ; ne comprend pas pourquoi la gare et si bondée à cette heure si matinale un matin d'août 1914. Au loin en se rapprochant du Quai j'aperçois des enfants de differents âges jouer, chahuter, crier. Il y en a certains   qui pleurent. sous mes yeux au sol j' aperois des Hommes a terres d'une couleur terne. La peur m'envahit !J'entrevoit  des grandes personnes  faire  des aller retour de wagon en wagon. En observant mieux ont distingue oui même sa saute au yeux ont entrevoit la peur dans les yeux des passant est sur les ennfants ont lits l'incompréhensions. ont à la sensations d'être bloquer dans le temps comme si ont était dans un tableau.Seul les enfants observent comme moi en vaint. Je vois mon pére dire aurevoir  Aa mes deux jeunes frêres et enfin  ma jeunes soeur qui n'est encore qu'un nourisson. Dériére moi se tient ma Grand-Mére qui ne dévoile jamais ces sentimens mais là, elle pleure à chaudes larmes pendant que je tiens son panier qui lui et aussis grand que moi . Mes deux grand frêres se chamaillent devant moi sans atention au autres personnes. il ne reste que ma  soeur ne conaitra peut être pas  sont pére. J aimerais lui dire à  quel point je l'aime.Je lui est même préparé un texte mais rien ne sort . sauf sur le vif  je lui dis à quel pooint je l'aime et que malgrés le désaroie, la peine, la tristesse, la douleur  il s'en sortira toujour grâce  à notres amours et qu'il pouvait partir la fleur au fusil .les marches pieds se refermaient ,le train sifle,le train part .

caro.ma@yahoo.fr

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