Etude de cas sur la dure vie des poilus dans les tranchées

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          Ce document est une photographie d’une tranchée de la première guerre mondiale (1914-1918) où l’on voit des soldats poilus français qui font face au danger, cette photographie est destinée à laisser une trace de la 1ère guerre mondiale dans l’histoire.

          On pourra donc se demander en quoi les conditions de vie et de combat des poilus français sont très dures dans les tranchées pendant la 1ère Guerre Mondiale.

           Nous verrons dans un  premier temps, leurs milieu de vie et ce qu’ils les entourent, et dans un seconde temps, nous allons voir l’état dans lequel semble être les soldats.

          Pendant la 1ère Guerre Mondiale, les soldats se cachaient dans des « Tranchés », des lieux de vie créés en creusant de long trou sur 1 mètre de profondeur, en mettant la terre de ce trou sur ses côtés , finalement, on atteint environ 2m de profondeurs, en général  les tranchées sont protégées par des sacs de sables, des mines, des pièges,  et des barbelés. Dans cette photographie, on voit que les soldats se situent dans une tranchée surplombé par des barbelés, cette tranchées semble étroites, ce qui rend les conditions de vie difficiles, il y a du plancher en bois installé par terre. De plus, on peut voir que les soldats sont près au combat ce qui montre que cette tranchée semble être une tranchée de 1ère ligne, ligne dans laquelle les soldats combattent et peuvent être envoyé dans le No Man’s Land, une zone dans laquelle tout intrus sera abattu par l'une ou l'autre des factions. Avec les tranchées comme lieu de vie, le quotidien des soldats de 1ère ligne semble très dur, mais ces soldats gardent leurs déterminations.

          Dans cette photographie, on peut voir que ces soldats de 1ère ligne sont confiant et près au combat, voir même assis pour certains, cette détente n’est enfaite qu’un reflet de la réalité, pendant la 1ère Guerre Mondiale, le risque de mort est omniprésent, à n’importe quels instant, un soldat peut mourir d’un obus ou être gazé ce qui instaure la peur chez le soldat même s’il est protégé par un masque à gaz, de plus les soldats voient des cadavres tout autour d’eux. Ces soldats semble  confient en partie grâce à l’alcool, en effet une ration quotidienne de vin appelé familièrement par les soldats « Pinard » est distribué à chaque soldats, au début de la guerre les soldats disposent d’un quart de litres, puis d’un demi-litre, et à la fin de la guerre un litre, avec en plus quelques centilitres de Gnole, généralement un Rhum arrangé à 70% était distribuée , cette augmentation est due au combat violent, cela permettez au soldat d’oublier les violence de la guerre en les rendant sous. En plus d’être sous, les soldats manquent de sommeil, leurs conditions de vie sont donc très dures, les violences du quotidien omniprésente donne la brutalisation, une Intériorisation d’une violence physique et morale qui restera dans la tête de ces soldats que ce soit pendant ou après la guerre.

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