Les révolutions de 1848 ont-elles échouées ?
Dissertation : Les révolutions de 1848 ont-elles échouées ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar yoho • 26 Septembre 2017 • Dissertation • 823 Mots (4 Pages) • 730 Vues
Question la plus importante du sujet est de définir l'échec des ses révolutions, le but d'une révolution étant de changer l'ordre en place. L'ordre visé par 1848 est celui du congrès de Vienne de 1815, quui représente la tradition, l'absolutisme et l'Europe des Princes face à celle du libéralisme et et des nationalités, face à celle des révolutions.
Fail au niveau politique et dc de la gouvernance mais niveau des idées par contre ils ont eu un impact certain, les nationalités ne sont plus seulement considérées sous l'angle de la répression mais comme objet géopolitique dont on peut tirer avantage.
Cet ordre dominé par l'Autriche et rétabli par lui en Italie en Allemagne et en son sein est fortement contesté au vu du changement de politiques des élites de ces pays après 1848. Il s'agira donc de se questionner sur l'impact géopolitique et social des révolutions de 1848 su les Etats monarchiques, afin de comprendre les nouvelles problématiques européennes apportées par ces révolutions et comment celles-ci influence l'ordre européen sous pouvoir le renverser.
- Une société qui tendait vers l'ordre bouleversée, entre compromis et autoritarisme
- L'importance de l'ordre
L'équilibre des puissances à la Metternich, idée du concert européen, garantir l'equilibre entre les puissances, cela suit par l'ordre traditionnel et monarchiquen donc absolutiste
Contesté par les diverses révolutions françaises, et celle de Belgique l'ordre de Vienne semble en mauvaise posture en 1848.
- Absolutisme et modernité
Diverses concessions de constitutions où de parlement, néanmoins le pouvoir reste toujours entre les mains du souverain, exemple autrichien de Schwarzenberg, apres que Metternich est démissioné il fait une fausse compromission pour moderniser l'Etat autrichien tout en le renforçant, fin de société d'ordre et du servage, reconnaissance progressive des langues des minorités, notamment hongroise et tcheques tout en leur refusant l'autonomie
- Le retour mitigé à l'ordre de Vienne en 1850
- Une Autriche toujours dominante mais dont l'hégémonie diplomatique sur l'Europe déjà fragile est désormais contestable
L'Italie lui en veut tout entier, et est désormais soutenue par la France qui a pris pied dans les affaire italiennes à Rome.
Le traité d'Olmutz n'aurait pas eu lieu sans l'aide de la Russie, et la reconquête de la Hongrie sans les minoritées slaves.
- Les puissance en devenir du Piémont et la Prusse, leaders de l'Italie et l'Allemagne de demain
Le Piémond de Charles Albert s'est rallié aux insurgés Italiens par simple arrivisme politique suivant les conseils de Camillo de Cavour, qui voit déjà le roi de Piémont devenir roi d'Italie. La Prusse a refusé au parlement révotionnaire de Francfort son "diademe de papier", mais avait entamé une union des princes seulement stoppé par la menace de l'Autriche
- Vers une politique du compromis et de l'utilité au lieu de la simple répression autoritaire, dans la tendance de la France, un ordre qui se renforce mais influencés par les thématiques révolutionnaires
- Les nations et révolutions aux services des Etats suggère la conscience d'un début d'Etat Nation
Les souverains de Prusses et du Piémont sont d'abord réticent à s'engager dans les unifications italiennes et allemandes voulue et déclenchée par les révolutionnaires, le néophyte mais bruyant politique Bismarck s'opposait même à une union des Princes, mais pourtant le pragmatisme l'emporte car la volonté de s'émanciper de l'Autriche dans les deux cas est trop forte. Ces souverains ont donc souscris à l'idée des nationalités malgré par pur arrivisme politique, l'importance des nationalités s'impose bien dans l'ordre géopolitique européen post 1848
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