L'aménagement du territoire

I. Présentation 

Je vaiss dabord vous presenter le projet de NDDL. Sous son vrai nom l’aéroport du grand ouest ce projet est né en 1963 durant les 3O glorieuses en periode de croissance éco ; mais le choc petrolier condamne le projet

En 2000 Lionel jospin  1er ministre de jacques chirac relance les procedures de création

Les premieres formes d’opposition apparaissent et sont  majoritairement composée de paysans et gagne de l’influance d’année en année

JM Ayrault anciennement maire de la commune et premier ministre de l’epoque lance le debut des travaux et l’opposition entre les 2 camps se tend  

Le 26 juin 2016 un referendum a lieu en temps que consultation sur le projet de transfert de l'aéroport de Nantes-Atlantique sur la commune de Notre-Dame-des-Landes, le oui l’emporte a 51% ce qui montre un opposition assez grande

Il y a peu le 1er ministre a annonce une reponse sur le debat au suite de sa visite a NDDL

II. Les origines de ce projet 

En plein dans les 30 glorieurses les élus cherchent à developper les poles de crossance

la Délégation interministérielle à l’aménagement du territoire et à l’attractivité régionale (DATAR). Créée en 1963, celle-ci est d’abord placée sous l’autorité d’Olivier Guichard il théorise le concept de «métropoles d'équilibre» : Le terme de métropole d'équilibre désignait dans les années 1960 à 1970 une ville (ou un réseau de villes) dont l'importance régionale était destinée à jouer un rôle dans l'aménagement du territoire en France en faisant contrepoids économiquement et démographiquement à l'hypercentralisation parisienne.. Huit agglomérations, dont NDDL , sont choisies pour contrebalancer cette hypercentralisation.

Cette  Zone est principalement a exploitation agricole

Cet aéroport est censé effectuer la liaison avec l’Amérique du Nord.

III. Les opposants à NDDL 

1972. Création de l’Adeca, l'Association de défense des exploitants concernés par l’aéroport, qui refusent la disparition des terres agricoles.

1974. Un arrêté préfectoral donne naissance à une zone À DEFENDRE (ZAD) de 1 225 hectares. Le conseil général dispose d’un droit de préemption des terres agricoles.

DE PLUS  le projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes prévoit de détruire 962 hectares de zones humides et de bocages. Cette surface s’élèverait même à plusieurs milliers d’hectares avec les infrastructures de desserte prévues à moyen et long terme (tram-train, LGV…). Pourtant, ces zones humides sont précieuses. Véritables éponges, elles régulent inondations et sécheresses, stockent du carbone ou encore elles abritent une riche biodiversité, d'indéniables atouts qui permettent d'atténuer les effets du dérèglement climatique. Détruire ces écosystèmes, c'est donc détruire une partie de la solution à de nombreux problèmes.

le projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes envisagé dans les années 60, se révèle être une idée du passé : il nie doublement le défi climatique. D'une part, cet aéroport vise à développer encore et toujours le transport aérien, mode de transport champion de l’émission de gaz à effet de serre par kilomètre. De l'autre, il compte s'implanter sur une zone humide, milieu reconnu pour son rôle de puits à carbone et faisant donc partie des meilleurs atouts pour lutter contre  le dérèglement climatique.

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