Quel rôle a eu la France sous le Second Empire a-t-elle eu dans l’unification de certains de ses pays voisins ?

MILANDRI Carla/ BEZOT-BIZE Juliette

"Le 2 décembre a été pour moi l'explosion de ces longs projets et de ces longs espoirs." Cette célèbre citation de Victor Hugo fait référence au coup d’Etat établi par Louis-Napoléon Bonaparte en effet, le 2 décembre 1851, Louis-Napoléon Bonaparte (Napoléon III) renverse la Deuxième République et se proclame empereur en décembre 1852. Nous pouvons allons-nous demander, quel rôle a eu la France sous le Second Empire a-t-elle eu dans l’unification de certains de ses pays voisins ? Cette question sera traitée sous deux parties : une première qui reflétera l’exemple de l’unification de l’Italie, et une deuxième, avec l’unification de l’Allemagne.

Courant le 19ème siècle, l’Italie, telle que l’on connait aujourd’hui était divisée aussi bien géographiquement que politiquement, comme dans les États pontificaux ou dans le Royaume de nappes, de Sicile ou en Toscane. Le chef du gouvernement de piémont-Sardaigne (Cavour) ainsi que Mazzini désir une unification italienne. Par exemple Mazzini entretien un sentiment national, tandis que la Carbonari est mise en place (ce sont des membres de sociétés secrètes françaises ou italiennes qui luttent pour l'application des principes libéraux). Leur but crucial étant de créer un état italien dont la capitale serait Rome afin que l'Autriche du Nord soit beaucoup moins appliquer dans les affaires italiennes.

L'alliance entre Napoléon III et Victor Emmanuel III rois du piémont-Sardaigne marqua un tournant dans cette unification. En effet Victor Emmanuel II n’était pas assez puissant fut donc une alliance avec Napoléon III. Suite à cela, il y a eu de nombreuses victoires (dont Magenta en 1859 et Solferino en 1859.). La France fut gagnante elle aussi, car en 1860, elle récupéra ses terres (la Savoie et Nice), ce qui a aussi permis d’éloigner Alliance entre Napoléon III et Victor Emmanuel II, car Victor Emmanuel II ne peut pas y arriver seul (de nombreuses victoires, dont Magenta en 1859 et Solferino en 1859. Même si la Rance désormais sous l’autorité de Napoléon III, refuse l’idée d’une autorité italienne avec Rome en capitale, car il ne veut surtout pas contrarier l’opinion publique en France. Finalement l'état italien sera proclamé en 1861, mais Rome, ainsi que les États pontificaux seront intégrés en 1870, ce qui a marqué la fin de cette unification.

Pour conclure cette première partie, nous pouvons retenir, que l’unification de l’Italie, est en partie faite, grâce à l’aide très active de la France, même si le Pape, n’accepte pas ce nouvel Etat et dit même qu’il y est emprisonné dans son propre territoire.

            Par ailleurs, le cas allemand soulève la question du partage de la nationalité entre plusieurs États. En effet, la Confédération germanique autorise l'intégration d'une partie du nord des territoires des États autrichiens. Ainsi, l'Allemagne, qui n'est encore qu'une expression géographique, est non seulement divisée intérieurement, mais aussi extérieurement en raison de la présence de la communauté germanique en Autriche. Cette division territoriale, plutôt qu’idéologique, au sein de la communauté germanophone, est à l'origine des sentiments nationaux et du mouvement romantique allemand, notamment soutenu par Goethe et Friedrich.

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