Première fausse confidence de Marivaux

LES FAUSSES CONFIDENCES (1736) – MARIVAUX

Texte : la première fausse confidence.

Introduction :

- Marivaux est l’1 des + grds dramaturges fr du 18è  (connu pour ses comédies :

comme Le Jeu de l’amour et du hasard, ou encore Les Fausses confidences

- Précurseur des Lumières, s’interroge sur l’ordre social de son temps

> dvp intrigues amoureuses qui s’appuient sur les jeux du langage

> Ainsi, la relation amoureuse prend svt la forme du marivaudage,

les faux semblants y tiennent également une place importante.

Les Fausses Confidences écritent en 1736 reposent sur une intrigue simple.  Un jeune

noble ruiné, Dorante, veut épouser une belle et riche veuve, Araminte.

Et pour cela Il fait appel à son ancien valet Dubois désormais au

service de celle-ci pour l’aider. Dubois va échafauder des stratagèmes

pour que Araminte aime Dorante et ainsi faire triompher l'amour

Plan :

Le passage à étudié est tiré de la scène 14 de l’acte 1. C’est une

scène clé dans la mesure où le valet Dubois se livre à la première

fausse confidence. En effet il révèle à Araminthe qu’elle est l’objet de

passion amoureuse de Dorante. Ici, Le valet livre un récit poignant

dans le but d’émouvoir et de susciter l’intérêt de la jeune veuve.

Conclusion :

Dans cet extrait on voit que Marivaux use de l’art de la parole, de la comédie et de la psychologie pour mettre en lumière

les jeux d’amour et de l’argent. Le lecteur prend conscience de pvr de la parole, puisque habillement menée Araminte est amenée à déclarer

ses sentiments amoureux, elle exprime malgré elle ses émotions au fil de cette fausse confidence. Ce n’est pas sans faire penser à l’oeuvre de

Madame de la Fayette La princesse de Clève.

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