Les progres scientifiques engendrés par les révolutions scientifiques des Xxeme et XXIeme siècles sont-elles bénéfiques à l’homme ? Faut-il leur fixer des limites ?
Fiche : Les progres scientifiques engendrés par les révolutions scientifiques des Xxeme et XXIeme siècles sont-elles bénéfiques à l’homme ? Faut-il leur fixer des limites ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar kellyrld • 3 Octobre 2022 • Fiche • 952 Mots (4 Pages) • 365 Vues
Sequence 2 : « progrès scientifiques et questionnements ethiques »
PB : les progres scientifiques engendrés par les révolutions scientifiques des Xxeme et XXIeme siècles sont-elles bénéfiques à l’homme ? Faut-il leur fixer des limites ?
Séance 1 : Etat des lieux des innovations scientifiques : vers un homme nouveau ?
I) les grandes mutations de l’homme transformé par la science
grandes avancées scientifiques au tournant des XX/XXIeme siècles dans différents domaines :
-médecine et génétiques[pic 1][pic 2]
-technologie ( et biotechnologie) [pic 3]
-electronique
-informatique
Quelles applications sur l’homme ?
[pic 4][pic 5][pic 6]
[pic 7][pic 8][pic 9]
II) Les questions et réponses proposées par les médecins, philosophes et scientifiques
- est ce que ces modifications sont éthiques ?
- est ce que l’ultra connexion constitue un danger ?
- est ce qu’un homme nouveau est en train de naitre ?
→ En France des réponses sont données par un organisme : CCNE (comité consultatif national d’éthique)
*BIOETHIQUE (vie/morale)= morale du vivant ; discipline qui étudie les problemes moraux et sociaux soulevé par les progrès scientifiques impliquant une manipulation du vivant.
La notion de bioéthique apparaît après le procès de Nuremberg en 1947, ou son juger les médecins nazis ayant réalisé des expériences sur certains détenus. Par la suite est paru le Code de Nuremberg = liste 10 règles posant les premiers principes de la bioethique.
Ex : le consentement du sujet, l’expérience doit apporter un bénéfique supérieur au mal, l’absence de souffrance.
Présentation du CCNE :
- création en 1983, par Mittérand à la suite de la naissance du 1er bébé éprouvette (Amandine)
- composition : scientifiques, philosophes et religieux, spécialistes de l’ethique
-mission : débattre et donner un avis, rôle ‘consultatif’ mais pas législatif. Il peut etre saisit (=consulter) par le président de la répulique, les religieux, des chercheurs.
Séance 2 : L’homme réparé : greffes et prothèses
def :
*REPARATION : lorsque la médecine et la technique s’alliance pour réparer ce que la nature à raté (on nait avec un membre en moins) ou ce que des accidents/maladies ont endommagé
→ l’homme doit être le plus semblable possible à l’homme naturel non accidenté
1. L’homme réparé par une greffe
*greffe : remplacer un organe malade par un organe sain qui provient le plus souvent d’un donneur mort ou vivant.
1954 : première greffe réussit d’un rein entre jumeaux, avant les tentatives ont échouées => rejet
a. le don d’organe ses conditions et son organisation
cf : site de l’agence de biomédecine
*Don d’organe : acte de solidarité régit par 3 grands principes ethiques (consentement, gratuité, anonymat)
depuis 1976 on à le principe de consentement présumé toute personne est considérée comme consentante si elle n’a pas fais connaître son refus de son vivant
Le rôle de l’agence de biomédecine :
- elle gère la liste des personnes en attente de greffe et le registre national des refus
- elle garanti l’équité lors de l’attribution des organes
- elle coordonne les prélèvements d’organe (l’équipe qui prélève ne peut etre celle qui transplante)
- elle promut le don
b. le don d’organe pour ou contre
POUR
- sauve des vies après la mort
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