Analyse financière
Fiche : Analyse financière. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Nada el mouraouah • 21 Avril 2018 • Fiche • 1 059 Mots (5 Pages) • 892 Vues
Séance 1 :
La valeur est liée à la performance. En finance, le passé est mort, ce qui compte c’est l’avenir. Le Ce est le présent, et ce capital est projeté vers l’avenir ce que lui permet de dégager un profit Pe.
La valeur est l’évaluation d’une série de valeurs futures ramenées aujourd’hui. La finance est une anticipation des profits futurs à partir du capital mis en oeuvre aujourd’hui.
L’effet de levier financier. La renta financière dépend du taux de l’impôt t, de la rentabilité économie Re (REX ou IBIT) et la rentabilité financière dépend de la rentabilité économique qui en est le moteur, le sous-bassement, de l’effet de levier qui vient démultiplier la rentabilité éco qui se décompose en (re-i) et en D/E (E étant les CP, D/E étant compris entre 0 et 1 ou 2. En fait, ce ratio est borné par des pratiques professionnels et la loi défini institutionnellement le surendettement mais rationnellement il est indéfini vers le faut ou vers le bas, une dette négative (signifiant que ?, exemple Apple).
La rentabilité financière = rentabilité économique + effet de levier.
L’effet de levier positif entraîne une volatilité du bénéfice, la volatilité accompagne le risque. La mesure de la volatilité est l’écart-type.
La volatilité de la renta financière = volatilité renta éco x (1+ D/E) : la volatilité se paye par un risque financier supplémentaire (formule en rose)
Analyse du graphique : L’effet de levier tire la moyenne (voir graph) vers la droite. Les queues de distribution deviennent plus fortes.
C)
La rentabilité est une contrainte de survie
La rentabilité est à la fois un revenu supplémentaire et la répartition de ce revenu supplémentaire Il est un indicateur de création de richesse qui pose la question de sa répartition.
En dehors de la logique capitaliste, on peut dire que la richesse crée doit se répartir entre toutes les parties prenantes (VS les actionnaires dans cette logique)
La solvabilité es une autre contrainte financière de survie. C’est une fonction assumée en tant que métier dans l’entreprise. A LT, on cherche de prévoir la contrainte de solvabilité (cf. Business Plan).
II. Retraitement Actif
- Crédit bail :
Propriété ou location, cela sert à financer un projet économique donc fait partie de l’image économique de l’entreprise. Il est réintégré à l’actif et pour un souci d’équilibre, au passif est inscrite une dette. De plus, un mécanisme de pseudo-remboursement de la dette et de pseudo-amortissement.
La méthode 25/75 est empirique et n’a pas de justification. Il y a 10 ans, 1/3/2/3, aujourd’hui 1/5/4/5. Aujourd’hui, le niveau de taux d’intérêt sont plus basses (fixé par BCE). Il n’y a pas de bonne méthode absolue, mais dépend de l’information disponible. On la trouve en hors bilan classe 8, liasse fiscale indique la somme des loyers restant dus.
Les IFRS préconisent un retraitement (quatrième méthode) : selon IAS 17,
1) Calcul du taux d’intérêt effectif du crédit bail ( = TIR)
2) Détermination de la durée de vie du bien qui est différente de celle du crédit bail
3) Calcul de la valeur actuelle des loyers
4) Deux année après, on réintègre la valeur du bien sur la durée économique ➔ les pseudo DAP sont de 12>50 cette fois au lieu de 1300 (exemple précédent)
le retraitement IFRS des crédits bail n’est pas équilibré !!!!! ➔ en mettant à contribution les CP pour retrouver l’équilibre, ce qui ne laisse pas les CP inchangés, ce qui diminuent dans l’exemple les CP de 400K.
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