Les differences entre les normes comptables

Les différences entre les normes internationales d’information et les normes comptables pour les entreprises à capital fermés à ce qui trait a :

- les comptes clients et trésorerie : il n’y a aucune différence significative entre les deux référentiels comptables (IFRS  et NCECF), Ils sont traités  dans les normes portant sur les instructions financiers.

-les immobilisations corporelles :

 ● Les deux normes comptabilisent les immobilisations au coût, par contre   les coûts d’emprunts font partie du coût de l’actif  pour IFRS,  et pour les NCECF  les entreprises peuvent choisir de capitaliser ou non les frais financiers dans le coût de l’actif.  

 ● Au niveau d’évaluation, les IFRS exigent qu’une entité choisisse entre la méthode du coût historique et la méthode de réévaluation  (juste valeur). Les NCECF à une seule méthode d’évaluation et qui est  celui du coût historique.

-Les immobilisations incorporelles :

 ● Pour les frais de développement, les NCECF permettent aux entités de choisir ente deux méthodes comptables : passer les dépenses  en charges ou les intégrées ou coût de l’actif. Toutefois, les IFRS ne permettent pas à une entité de choisir de méthode de comptable a cet égard.  Les dépenses sont intégrées au cout de l’actif.

 ● Au niveau d’évaluation, les IFRS exigent qu’une entité choisisse entre la méthode du coût historique et la méthode de réévaluation  (juste valeur) . Les NCECF à une seule méthode d’évaluation et t qui est  celui du cout historique.

-stocks :

● Pour IFRS : l’intérêt directement attribuable a l’acquisition, à la construction ou à la production de stocks  est inclus dans les couts des stocks. Selon les NCECF , ces intérêts sont capitalises lorsque le choix comptable de l’entité consiste a capitaliser les couts financiers.

● Selon NCECF : les coûts sont ajoutés à la valeur comptable de l’actif non courant connexe  au moment de leur comptabilisation initiale, selon IFRS : Les coûts de démantèlement et de remise en état pour la production de stocks sont compris dans le coût au moment de leur comptabilisation.

-passifs :

●  Pour IFRS : la seule méthode reconnus  pour amortir la prime ou l’escompte est la méthode de l’intérêt effectif. Les NCECF : deux méthodes sont acceptées pour amortir la prime ou l’escompte : la méthode de l’intérêt effectif et la méthode linéaire

● Si on compare les provisions : selon IFRS : une provision est constatée sur la base d’une obligation légale ou implicite qui découle d’un événement passé. Les NCECF : une obligation implicite est comptabilisée si une norme spécifique l’exige.

-Capitaux Propres :

 ● Selon IFRS : si des actions préférentielles  ne sont pas remboursables au gré du porteur, elles sont classées comme des capitaux propres si elles supposent le droit de dividende. Les NCECF : si les actions préférentielles ne sont pas rachetables au gré du porteur, elles sont automatiquement classées dans les capitaux propres.

 ● Pour  NCECF : Les actions émises en échange de biens et de services sont comptabilisées soit sur la base de juste valeur de la contrepartie reçue, soit sur celle de la juste valeur des instruments de capitaux propres, selon la mesure la plus fiable. Les IFRS : l’opération résultant d’une émission d’actions en échange de biens de  services doit être évaluée à la juste valeur des biens et des services reçus, sauf si cette juste valeur ne peut être estimée de façon fiable.

Une gestion efficace des comptes clients consiste à établir des méthodes et on peut nommer différents  façons tels que :

• Faire établir les antécédents des clients en matière de crédit
• Procéder périodiquement à un classement chronologique des comptes clients et communiquer avec les clients dont les paiements sont en retard.
• Récompenser à la fois le personnel des ventes et celui du recouvrement pour toutes récupérations rapides des comptes.

 Le lien entre le concept de rattachement des charges aux produits et les méthodes d’amortissement :

    C’est que selon le concept du rattachement des charges aux produits, on doit répartir  le montant    amortissable des immobilisations sur les périodes au cours desquelles l’entreprise les utilise.

•  la méthode de l’amortissement linaire :   c’est la méthode la plus utilisée, la charge annuelle d’amortissement demeure constante d’une période à l’autre, et consiste à repartir le montant amortissable d’une immobilisation en montants égaux.
• La méthode de l’amortissement des unités de production : tient compte du degré d’utilisation de l’immobilisation. L’utilisation de cette méthode est  considéré la charge d’amortissement  une dépense variable, puisqu’elle varie de façon directement proportionnelle a la production ou a l’utilisation. Avec cette méthode l’entreprise doit régulièrement réévaluer son estimation afin d’assurer le meilleur rattachement des charges aux produits.
• La méthode de l’amortissement dégressif  a taux constant : c’est une méthode qui consiste  a repartir le cout d’une immobilisation sur plusieurs périodes, on remarque que l’amortissement cumulé augmente, et la charge d’amortissement diminue.

La façon que  l’information doit être divulguée dans le rapport annuelle de 2013, c’est que l’entreprise doit prendre des provisions pour couvrir les procédures judicaires et ces dernières  doivent être enregistrées et présentées  à  l’état de la situation financière.

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