UE 1.1 CULTURE, MALADIE ET PRATIQUES SOIGNANTES

UE1.1 CULTURE, MALADIE ET PRATIQUES SOIGNANTES 09/2016

Comment la maladie est perçue ?

Penser : expl : sang=vie/mort selon la culture. Vient de nos parents → concevoir

PENSER → PANSER (dans le monde soignant comme pansement)

la maladie, qui à la base est organique, pathologique peut être vu comme une punition (religion...).

la maladie peut être vu comme élection (pour soigner quelqu'un il faut avoir été malade) → pour soigner il faut connaître le statut de malade. Le fait d'avoir été malade me donne un statut nouveau, celui de guérisseur.

La maladie peut être vu comme une représentation du mal.

On parle de la maladie comme déviance. Aujourd'hui la santé c'est la norme → si on l'est pas on est vu comme dévient. Le SIDA est l'exemple type de la déviance.

La souffrance humaine ne pourra jamais être vu comme une atteinte organique banale → atteinte dans leur vie relationnelle.

Il y a aussi une dimension lié a la nature → on pense qu'a force de polluer = répercussion pathologique.

Dimension sociale → une tension avec un proche que je n'arrive pas à résoudre , à force = tension sociale qui se « cristallise » dans le corps (ça expliquerais pour certaines personnes les problèmes gastriques).

Les soignants ne prennent pas toujours en compte toutes ces dimensions → on s'arrête a la dimension pathologique.

Il faudra avoir une attitudes la plus professionnel et la plus pertinente qu'il faudra avoir. Ne pas juger les gens qui ont les croyances = accueil la vision de la famille de façon à ce que ça ne soit pas stigmatisant. Il faut que la famille ne se sente pas juger et ne soit pas vu comme des superstitieux certain considère l'épilepsie comme contagieuse (et c'est pour cela qu'ils séparent les enfants des épileptique car ils ont peur que ça se diffuse).

Il y a aussi des rituels qui font appels à des divinités, des rituels de dévotion → il y a aussi des rituels de passage = associé changement physiologique avec un changement social (quand un homme arrive à l'âge mature on fait un rituel de passage pour montrer aux yeux de la société son changement de statut = changement de responsabilité)

Maladie vu aussi comme un rituel de passage → il faut passer par la maladie pour assurer un nouveau statut → il faut que ce soit partagé par un groupe pour qu'il y ai un changement de statut.

Un rituel individuelle est vu comme un TOC c'est propre à la personne.

Dans certaine communauté la maladie est vu comme une punition des ancêtres et pour s'en défaire il faut faire un rituel (s'appelle N'DOEP par exemple) pour rétablir un équilibre et donc rétablir un niveau de santé grâce à une nouvelle harmonie.

Dans la dimension de l'être humain la santé est vu comme une harmonie et la maladie est vu comme un dérèglement.

Le Burn-Out = épuisement professionnel est un maladie qui appartient à notre société qui nous donne des cadences infernales et pluriels ou on n'arrive plus a partager la vie professionnelle et personnelles, tout ce chevauche.

Dans d'autre société: le «SISTO» est une «maladie» non guérissable avec des médicaments et qui serrait dû (on suppose) au stress du quotidien ce serrait surtout dans les foyers avec des parents maltraitants. Les médicaments ne soignent pas cette maladie.

Désormais tout doit passer par des antibiotiques et des médicaments.

L'obésité n'est pas vu de la même manière selon les cultures (Gros/Riche: assez pour ce nourrir/Peut faire face à la famine). L'obésité à différentes causes: société de consommation, psychologie...

maladie vu comme déviance → on nous provoque (la société).

S'il y a déviance c'est parce que la notion de norme existe. Avant de parler de déviance il faut parler de norme.

Norme : (Cadre formelle) ensemble de règle qui peuvent être formelle ou informelle. Mais il y en a qui s'impose

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