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L’approche « relation humaines » ou le management participatif

Thèse : L’approche « relation humaines » ou le management participatif. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  7 Octobre 2016  •  Thèse  •  12 714 Mots (51 Pages)  •  1 880 Vues

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Plan du cours

  • Objectifs du cours
  • Définition des éléments de base
  • Introduction
  • L’approche structurelle ou le management rationnel
  • L’approche « relation humaines » ou le management participatif
  • L’approche politique
  • L’approche culturelle
  • L’approche mintzbergienne

Objectif du cours

  • Comprendre ce qu’est une théorie des organisations
  • Connaitre les principaux courant en matière de théorie des organisations et leurs différences ;
  • Identifier et analyser les principaux concepts issus des théories des organisations
  • Mieux appréhender la place, le rôle l et les enjeux du management des organisations en matière de conduite du changemen

Définition des éléments de bases

En se référant à la psychologie de la forme fondée par Ehrenfels et Koffka et Khöler, les expériences perceptives précédentes nous suggèrent que :

  • Toutes perceptions s’intègre d’emblée à un tout qui lui confère un sens : ce tout est une forme.
  • Que la forme – par opposition aux parties – régit le sens que prendra la perception
  • Que le changement d’un élément de la forme fait varier le sens que prendra celle-ci pour mes ses.
  • Que le sens de la forme est fonction de la personne qui la perçoit.

Ces expérience soulignent déjà que le sens que prendra une organisation sera multiple, relatif et contextuel…voyons si l’étymologie des termes apprend quelque chose…

Etymologie du terme d’organisation :

  • Empruntant au latin organum, du grec organon « instrument »
  • Apparition du terme organisation au XV siècle avec fréquemment le sens de « action d’aménager, d’agencer »

Sens actuel du terme « organisation » (subst fem) qui renvoie a trois acceptions principales :

  • Action d’organiser de structurer d’arranger
  • Mode selon lequel un ensemble est structuré (en vue de résultat)  et d’actions déterminé
  • Ensemble structuré (de service de personne) formant une association, un groupement ou une institution ayant des buts et des objectifs déterminés.

Etymologie du terme théorie

  • Emprunt au latin tardif theoria « spéculation, recherche spéculative » du grec theoria députation envoyé vers un oracle dans une fête solennelle
  • Apparition du terme théorie au XV siècle avec le sens de « connaissance abstraite, spéculation doctrine » s’opposait à pratique, pour prendre le sens de construction intellectuelle méthodique au XVIII siècle

Sens actuel du terme « théorie »

  • Ensemble de propositions logiquement reliée et systématiquement organisé encadrant un certain nombre de faits observés et consultant un réseau de généralisation dont on peut dériver des explications pour divers phénomènes.

Si on fait l’effort de rapprocher les deux termes théorie des organisations et des deux définitions précédentes il apparait que le sens de l’expression « Théorie des Organisions » ne vas pas de sois poser d’emblée de problèmes :

  • Une théorie des organisations vis-telle à expliquer et à comprendre selon quelles modalités les partie d’un ensemble sont structurée et agencée ?
  • Une théorie des organisations a-t-elle pour fin l’étude d’un ensemble donnée ayant des buts spécifiques ?

L’alternative peut finalement se résumer de la façon suivante : une théorie des organisations a –t-elle pour finalité d’analyser quels sont les principes structurants d’une organisation ou bien sa finalité est-elle d’étudier l’organisation dans sa globalité en tant qu’ensemble porteur d’objectifs.

En fait, le problème soulevé par l’analyse de locution « Théorie des Organisations » est la conséquence :

  • Des difficultés à délimiter l’objet « organisation » à partir d’une définition stable
  • De la multiplicité des approches envisageable d‘une organisation.

Prenons pour définition liminaire celle donnée par CROZIER, lequel considérée que l’organisation est la réponse au problème de l’action collective. 

Par problème, il faut attendre toutes situations ou tout contexte ou un projet où une activité ne peuvent être menée à bien par l’exercice d’un individu isolé.

Ce problème définitionnel ressurgit dans les sciences humaines qui travaillent sur les organisations.

Théories des organisations : objet ou point de vue ? 

  • Débat entres les défenseurs d’une définition des disciplines en terme d’objet et ceux d’une définition en terme de point de vue.
  • Les premiers revendiquent un « territoire » pour chaque discipline : la sociologie s’occuperait des groupes sociaux, la psychologie des individus, l’économie du marché et,
  • Les seconds défendent au contraire le principe d’une spécificité du regard disciplinaire indépendamment de l’objet étudié. La sociologie étudie toutes réalités par référence à des mécanismes sociaux (appartenance à des communautés rapport de pouvoir de croyance collective etc). La psychologie peut « étudier la même réalité mais par référence à des mécanismes mentaux (processus cognitif affectif émotionnel, motivations).  
  • Un même objet évidement être abordé par différents champs scientifiques.
  • On peut affirmer que la « Théorie des organisations » rassemble autour d’un même objet (les organisations, les multiples approches scientifiques : celle de sociologie, de la psychologie de la gestion de l’économie du droit, de l’histoire etc…)

Introduction

Création d’Aventis fin 1999, résultat de la fusion de Hoechst (groupe pharmaceutique allemand) et de Rhône- Poulenc dans les sciences de la vie.

Aventis devient le deuxième groupe mondial des sciences de la vie :

  • Pharmacie, la santé animal, les spins aux plantes
  • 20 milliard de dollar de CA
  • 90 000 employés.

Opportunité économiques de la fusion de Hoechst et de Rhône-Poulenc :

  • Mise ne commun des moyens dans la R&D :
  • Couts x 10 depuis 1980 millions de $ nécessaire pour développer une molécule
  • Synergie :
  • En recherche et développement, dans les achats, les frais généraux de la mise en commun du marketing et du réseau de ventes (fermeture de sites)
  • Estimations d’un grain de 1.2 milliard d’euros prévu sur 3 ans.

Risques associé à la fusion des deux entités :

  • Risque humains :
  • Les fusions sont souvent suivies d’employées, d’incertitudes et de démotivations.
  • Départ de certains cadres dirigeants de la société cible.
  • Risque politiques
  • Exigences de la Commission Européenne (direction générale de la concurrence veille à ce qu’il n’y ait pas de positions monopolistiques).
  • Offensive des syndicats qui souhaitent une cogestion « à l’allemande » : présence paritaire au sein du conseil de surveillance de représentation des salariés.
  • Risque culturelles :
  • Mariages franco-allemand, avec les risques de domination d’une culture sur l’autre.

Restructurer une entreprise est donc un projet complexe et délicat à conduire.

Typologie des projets en fonction :

  • De leur complexité technique :
  • Nombre d’intervenant- internet et consultant – durée du projet nombre d’étapes nécessaire, importance des coûts de budget.
  • De leur complexité relationnelle :
  • Fonction du nombre d’alliées et d’opposants au projet.

Typologie des projets de restructuration [pic 1]

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