Com Interculturelle - une introduction
Cours : Com Interculturelle - une introduction. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Fabrice PEERS • 16 Mars 2022 • Cours • 1 461 Mots (6 Pages) • 398 Vues
Com 3030 | Excercice pratique 1 |
La communication interculturelle : une introduction |
[pic 1] | COM 3030 |
La communication interculturelle : une introduction | |
TRAVAIL NOTÉ
Exercice pratique 1 (20%)
■ Remplissez soigneusement cette feuille d’identité. ■ Rédigez votre travail, en commençant à la page suivante. ■ Sauvegardez votre travail de cette façon : SIGLEDUCOURS_TN1_VOTRENOM. ■ Utilisez le Dépôt des travaux pour acheminer votre travail à votre professeur ou son délégué. http://www.teluq.ca/mateluq/ |
Feuille d’identité
Nom PEERS Prénom Fabrice
Numéro d’étudiant 21290491 Trimestre hiver 2021
Adresse 387 rue Lulli apt1
Laval Code postal H7N 1B5
Téléphone Domicile Travail
Cellulaire 514 806-6438
Courriel fabrice_peers@hotmail.com
Nom du professeur ou son délégué Anne-Marie Gagné – Jean Leclerc
Réservé à l’usage du professeur ou son délégué
Date de réception Date de retour
Note
Date d’envoi [pic 2]
Exercice noté
Exploration culturelle
J’aimerai pour ce travail faire le constat de la différence de culture que j’ai observé lors de mon arrivée dans le monde du travail au Québec concernant deux points, le « geste de salutation » et « la hiérarchie ».
Le geste de salutation
Mise en situation
Lors de mon premier jour de travail, je fus présenté par mon supérieur à toute l’équipe, mais aussi aux différents départements de ma nouvelle société. C’était très convivial, tout le monde m’accueillait avec un bonjour et un mot de bienvenue. Les jours suivant je faisais comme j’ai toujours fait chez moi, c’est-à-dire, de faire le tour du plateau pour dire « bonjour » aux personnes que j’allais croiser pendant la journée. En effet, il est coutume en Belgique de saluer par un geste ou d’une poignée de main nos collègues lors de notre arrivée au travail. Au fils des jours, j’ai pu constater que j’étais le seul à faire cela. Au début, je fus offusqué que personne ne dise bonjour en arrivant. Un collègue pouvait entrer dans mon bureau, sans dire bonjour et me parler comme si nous nous étions déjà salué plus tôt.
Je me disais, si on me dit pas bonjour, je ne dirai pas bonjour non plus, je prenais cela pour de l’impolitesse.
Ce premier contact était déterminant pour moi, ce bonjour en arrivant, cette formule me permettait de réduire le stress lié à l’appréhension de l’inconnu. Et ne pas perdre ce repère.
Ce simple bonjour était pour moi l’entrée en relation d’une communication, puis ce manque de repère avait débouché sur un malentendu. C’était un code utile à ma communication sociale.
Après observation, je pu constater qu’en fait c’était, je pense pas dans la culture de la société. Pourtant je venais de deux sociétés de taille équivalence ou était-ce qu’une simple coïncidence.
Le bonjour, la poignée de main était un code visible d’appartenance à ma culture, n’était pas ici une référence culturelle. J’avais du coup posé un jugement moral vis-à-vis de cette autre culture, en croyant à de l’impolitesse. J’ai dû m’adapter à cette situation en prenant conscience de mon propre cadre de référence.
N’oublions pas que la décentration est un processus qui permet de prendre conscience et de se mettre à distance de ses référents culturels afin de relativiser ses points de vue et ses jugements. Il me fallait prendre connaissance de ces nouvelles règles en entreprise.
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