Éducation spécialisée

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Selon le rapport Sherman, plusieurs manières de pensée sont évoquées pour expliquer la genèse de la violence. Certains sont portés à croire que les facteurs comme la pauvreté ou le manque d’éducation mènent un adolescent à commettre un délit. Tout cela s’avère être faux, en effet il faut en premier lieu prendre en considération la personnalité de la personne. Pourquoi un adolescent commet donc un crime ? La recherche d’un grand frisson, l’attitude hédoniste perçu dans notre société soit ; «Agis comme bon te semble » (Fullugrabe, sous presse)  et le style éducatif peuvent être des facteurs qui poussent un adolescent à faire un acte criminel. Comme on peut le lire dans le Rapport, les conséquences d’un délit est souvent renforcer sans le vouloir. Le manque de réaction d’autorité pousse le délinquant à agir encore plus violent ou continu car n’hésite pas à recommencer car il n’obtient aucune conséquences a ses actions. Donc, comment pouvons-nous réagir face à ses comportements et les évités ? Pour intervenir de manière adéquate il faut aussi intervenir dans le contexte familial, les parents sont parfois désemparés devant comment être un bon parent, il est expliqué que si l’enfant ne reçoit pas de sollicitude physique, sociale, affective et de stimulation intellectuelle approprié augmente les risques de développements de tempérament plus impulsif. C’est donc pour cela qu’il est important d’intervenir le plus rapidement possible dans les contextes familial. Le style parentale démocratique est à priorisé c’est-à-dire ; que le parent utilise des propositions éducatives directives, utiles qu’il aide l’enfant a des développer ses résolutions de problèmes efficacement lorsqu’un conflit se présente avec autrui.  La manière d’intervenir avec les jeunes adolescents impulsifs seraient donc de travailler avec eux leurs habiletés sociales. L’étude démontre que même les adolescents venant de milieux défavorisé ayant de bonnes habiletés sociales possèdent les caractéristiques suivantes ; ils sont moins impulsifs et inattentifs, ils réagissent moins de manière impulsive et ont moins tendance à consommer de substances rares. Ils possèdent les mêmes facteurs de risque que les autres jeunes ayant de moins bonnes habiletés sociales mais ils n’arrivent pas nécessairement à commettre un délit étant donné qu’ils comprennent que lorsque qu’une erreur est commisse, il y a une conséquence venant de l’extérieur. Finalement, si les mesures misent en place soit la socialisation des enfants, des adolescents et l’implication des parents et des milieux fréquenter par les enfants sont développer correctement, nous diminuons de beaucoup les chances de criminalité chez un individu car le développement de sa personnalité sera renforcer positivement et il aura appris comment bien agir en société.

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